Un conte moderne sur fond

d’homme invisible qui a enchanté petits et grands

 

L’histoire
Dans le village de Ronenval, tout semble normal. Trop normal pour Théo qui ne rêve que d’une chose : échapper à son destin de boloss. Un jour, il déniche à la bibliothèque un livre de magie qui contient les secrets de fabrication d’une bague d’invisibilité.

 

 

 

Avec l’aide de ses meilleurs amis Bonnav et Laura, il décide de fabriquer cette bague. Surprise : Théo disparaît pour de bon ! Victime de trois sorcières, il reste bloqué dans l’invisibilité…Il se lance alors dans une course effrénée contre le temps. Arkandias, un étrange individu toujours à leurs trousses, est peut être le seul à pouvoir les aider.

Les jeunes spectateurs se sont régalés de l’histoire du jeune Théo qui n’est pas s’en rappeler un certain Harry Potter. Sans toutefois égaler le film racontant le jeune sorcier… Clavier est assez inattendu dans le rôle d’Arkandias et a méchamment apeuré ses jeunes comparses, dans un premier temps. Et on est pendant toute la durée de ce film, réalisé par Alexandre Castagnetti et Julien Simonet scotché à l’histoire. Les enfants présents dans la salle en parlent avec ravissement.

 

 

 

Julien (7 ans et demi)

J’ai beaucoup aimé ce film qui parle de magie. C’est un peu Harry Potter et moi aussi j’aimerais bien être invisible quelquefois. Pour aller voler des jouets…On aurait dit que c’était « pour de vrai » et j’ai bien ri aux aventures des acteurs.

Clara (11 ans)

J’ai bien aimé la scène où les sœurs, qui sont très bêtes et méchantes, sont devenues invisibles. Ce film est magique et j’aimerai moi aussi devenir invisible. Malheureusement, cela n’existe que dans les films !

Louis (6 ans et demi)

C’était super ! Moi, bien sûr, j’ai aimé quand Théo est devenu invisible, mais j’ai adoré le petit singe. Si j’avais le pouvoir d’être invisible, j’irais partout, partout, partout…et je foncerais dans les gens, exprès.

Sandra, la maman

C’est vraiment un bon film à voir en famille. Certes, ce n’est pas Harry Potter, mais les enfants ont adoré. Oui, j’ai passé un bon moment avec ce film.
Secrets de tournage

Le Grimoire d’Arkandias est une adaptation du premier volume de la trilogie d' »Arkandias » d’Eric Boisset, paru en 2001. Pour le film, l’auteur a laissé place à l’imagination des deux réalisateurs, Alexandre Castagnetti et Julien Simonet, lesquels se sont inspirés de leur passion commune pour les films fantastiques et d’aventures des années 80.

Le tournage du film s’est effectué à Anvers en Belgique dans une ancienne bibliothèque située près de la grande place ainsi qu’à Tour & Taxis, un ancien site industriel bruxellois.

 

 

 

Un livre ancien datant de 1509 a été prêté pour les besoins du film, mais une seule personne du musée (l’ancienne bibliothèque) a eu droit d’y toucher. Par ailleurs, il existe de véritables grimoires de magie qui peuvent être consultés à la bibliothèque nationale de Paris. Les réalisateurs s’en sont inspirés.
Si Le Grimoire d’Arkandias rencontre le succès au box-office, il y a de fortes chances pour que des suites voient le jour. Lesquelles seraient : « Arkandias contre-attaque » et « Le Sarcophage d’Outre temps », même si Alexandre Castagnetti et Julien Simonet avouent ne pas avoir pris connaissance des autres tomes, en raison de l’influence qu’ils auraient pu avoir sur la réalisation du premier.

Alexandre Castagnetti et Julien Simonet ont débuté le casting du Grimoire d’Arkandias dans la rue. L’un d’entre eux indique : « Dans la gare de Bruxelles, par exemple, j’ai interpellé un gamin avec sa mère en lui demandant s’il ne voulait pas faire du cinéma alors qu’il était en train de monter dans un train. »
Christian Clavier a passé beaucoup de temps en amont du tournage avec le singe du film, pour que ce dernier soit habitué à son odeur. Les singes sont plutôt peureux, c’est pourquoi le tournage a été adapté de manière à ce qu’il n’y ait pas trop de monde autour de lui.

 

 

 

L’histoire du Grimoire d’Arkandias se déroule le 23 octobre 2014, une journée après sa sortie dans les salles. Pur hasard ou prémonition ? Nous pencherons pour le hasard : les réalisateurs ayant écrit le scénario en 2012, ils ne pouvaient connaître la date précise de la sortie du film.

La scène la plus difficile sur le tournage fut celle qui se déroula sous l’eau. Les enfants devaient être préparés pour descendre à six mètres de profondeur en apnée. Ils étaient tous effrayés par la réalisation de cette séquence.

Isabelle Nanty avoue s’être inspirée d’acteurs comme Christopher Walken et Jack Nicholson pour adopter le « vocabulaire du méchant » pour ce film. Mais ce n’est pas tout, puisque pour interpréter ce rôle de « chiffonnière », elle a pioché dans ses cauchemars d’enfance, pour être la plus juste possible dans son jeu.

La bande originale a été composée par Clément Marchand qui se trouve être le collègue d’Alexandre Castagnetti sur « Les Chansons du dimanche ». Au total, plus de 250 chansons sont nées de leur collaboration.