Autres journaux



lundi 24 novembre 2014 à 06:21

C’est arrivé un 24 novembre… (Voir la vidéo)

1864 : la disparition de Toulouse Lautrec !



Une fois encore, nous nous sommes tournés vers Wikipédia (l’encyclopédie libre) qu’il faut soutenir comme vous avez pu le constater en cliquant sur les liens que nous mettons à chaque article « puisé » dans cette encyclopédie aussi rare que précieuse !

 

toulouse lautrec 22 11 14

 

Photo : http://glasstire.com/2013/08/13/faking-it/guibert-henri-de-toulouse-lautrec/

 

Aujourd’hui, bous allons nous pencher sur le cas : « Henri de Toulouse-Lautrec, né Henri Marie Raymond de Toulouse-Lautrec-Monfa le 24 novembre 1864 à Albi et mort le 9 septembre 1901 au château Malromé, est un peintre et lithographe français de la fin du xixe siècle. »

 

Suit un assez long article qui commence de cette manière :

 

Biographie rapide…

 

Jeunesse

« Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa (1838-1913) et d’Adèle Tapié de Celeyran (1841-1930), il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents) et le château de Celeyran.

 

Henri de Toulouse-Lautrec est né dans l’une des plus vieilles familles de France, descendant en effet en droite ligne des comtes de Toulouse, qui furent jusqu’au xiiie siècle parmi les plus puissants féodaux du royaume. Cependant, cette branche cadette, malgré son nom illustre, ne vit que comme une famille aisée de la noblesse de province.

 

Au xixe siècle, les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d’éviter la division des patrimoines et l’amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d’Henri, Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa et Adèle Tapié de Celeyran, qui étaient cousins au premier degré. Ils eurent deux garçons dont Henri était l’aîné ; quatre ans plus tard naquit son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après.

 

L’incompatibilité d’humeur entre les deux époux entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère.

 

Il fut l’élève de René Princeteau qui devint ensuite son ami. Sa propriété de Malromé se trouvait à seulement 2 kilomètres de Pontus, qui appartenait à Princeteau. »

 

Problèmes de santé et infirmité

« Henri de Toulouse-Lautrec eut une enfance heureuse jusqu’au moment où débuta en 1874 une maladie qui affectait le développement des os, la pycnodysostose. Ses os étaient fragiles et, entre mai 1878 et août 1879, il souffrit d’une fracture au fémur à chaque jambe, qui l’empêcha de grandir au-delà d’une taille de 1,52 m1. On essaya de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb… »

 

Vie parisienne

 

« Incapable de participer aux activités qu’un corps normal aurait permis, Toulouse-Lautrec vécut pour son art. Il devint un peintre du postimpressionnisme, un illustrateur de l’Art nouveau et un remarquable lithographe ; il a croqué le mode de vie de la Bohème parisienne à la fin du xixe siècle. Au milieu des années 1890, il a contribué par des illustrations à l’hebdomadaire humoristique Le Rire…

Toulouse-Lautrec donnait des cours de peinture et encouragea les efforts de Suzanne Valadon, un de ses modèles qui fut probablement sa maîtresse. »

Décès

« Alcoolique pendant la plus grande partie de sa vie d’adulte (il avait coutume de mélanger à son absinthe quotidienne du cognac, au mépris des convenances de l’époque), il entra dans un sanatorium peu avant sa mort à Malromé, la propriété de sa mère, à la suite de complications dues à l’alcoolisme et à la syphilis, à près de 37 ans. Il est enterré à Verdelais (Gironde) à quelques kilomètres de Malromé.

 

Ses derniers mots furent adressés à son père qui était présent au moment de sa mort, faisant allusion aux goûts de cet aristocrate fantasque et passionné de chasse : « Je savais que vous ne manqueriez pas l’hallali ». À noter qu’au musée « Toulouse LAUTREC » (Albi, Tarn), il est fait allusion aux dernières paroles de l’artiste, adressées à sa mère. Les relations que Lautrec entretenait avec son père ont été sujettes à de nombreuses divagations non fondées. Le peintre n’a jamais été un artiste maudit par sa famille, bien au contraire. Voici la lettre que le comte Alphonse, père de Lautrec, écrit à Gabrielle de Toulouse-Lautrec, sa mère et donc grand-mère du peintre, le soir de la mort de son fils : « Malromé, 9 septembre 1901 : Ah chère Maman, que de tristesses. Dieu n’a pas béni notre union. Que sa volonté soit faite, mais c’est bien dur de voir renverser l’ordre de la nature. J’ai hâte de vous rejoindre après le triste spectacle de l’agonie longue de mon pauvre enfant si inoffensif, n’ayant jamais eu pour son père un mot enfiellé. Plaignez-nous. Alphonse. »

 

Rtrouvez l’intégralité de l’article et surtout les nombreuses notes et références en cliquant sur :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_Toulouse-Lautrec

 

Signé : un fan absolu…

 

 

Rétrospective oeuvres Toulouse-Lautrec à Albi

 

 

 

 

 



Laisser un commentaire

Vous devez être connecté pour publier un commentaire.


» Se connecter / S'enregistrer