Autres journaux



vendredi 30 janvier 2015 à 05:20

C’est arrivé un 30 janvier… (Voir LA vidéo)

1948 : l'assassinat du Mahatma Gandhi !



Encore un hommage mais, cette fois, à un GRAND, très..

 

Une nouvelle fois, c’est Wikipédia (l’encyclopédie libre) qui noue rappelle que c’est un 30 javnier que :

 

gandhi 29 01 15

 

 

Photo : http://leadershipvoices.com/2013/02/14/mohatma-gandhi-a-quiet-leader/

 

 

« Mohandas Karamchand Gandhi (en gujarati મોહનદાસ કરમચંદ ગાંધી (mohandās karamcaṃd gāndhī), , né à Porbandar (Gujarat) le 2 octobre 1869 et mort assassiné à Delhi le 30 janvier 1948, est un dirigeant politique, important guide spirituel de l’Inde et du mouvement pour l’indépendance de ce pays. Il est communément connu et appelé en Inde et dans le monde comme le Mahatma Gandhi (du sanskrit, mahatma : « grande âme ») – « Mahatma » étant toutefois un titre qu’il refusa toute sa vie d’associer à sa personne –, voire simplement Gandhi, Gandhiji ou Bapu (« père » dans plusieurs des langues en Inde).

 

 

Il a été un pionnier et un théoricien du satyagraha, de la résistance à l’oppression par la désobéissance civile de masse, le tout fondé sur l’ahimsa (« non-violence »), qui a contribué à conduire l’Inde à l’indépendance. Gandhi a inspiré de nombreux mouvements de libérations et de droits civiques de par le monde et de nombreuses autres personnalités comme Albert Schweitzer, Martin Luther King, Nelson Mandela, Steve Biko, le dalaï lama, Aung San Suu Kyi et Malala Yousafzai2. Ses critiques importantes envers la modernité occidentale, les formes d’autorité et d’oppression (dont l’État), lui valurent aussi la réputation de critique du développement dont les idées ont influencé beaucoup de penseurs politiques.

 

 

Avocat ayant fait ses études de droit en Angleterre, Gandhi développa, au fil de ses actions pour la dignité humaine et la justice sociale, une méthode de désobéissance civile non-violente en Afrique du Sud, en organisant la lutte de la communauté indienne pour ses droits civiques. À son retour en Inde, Gandhi incita les fermiers et les travailleurs pauvres à protester contre les taxes jugées trop élevées et la discrimination étendue et porta sur la scène nationale la lutte contre les lois coloniales créées par les Britanniques. Devenu le dirigeant du Congrès national indien, Gandhi mena une campagne nationale pour l’aide aux pauvres, pour la libération des femmes indiennes, pour la fraternité entre les communautés de différentes religions ou ethnies, pour une fin de l’intouchabilité et de la discrimination des castes, et pour l’autosuffisance économique de la nation, mais surtout pour le Swaraj — l’indépendance de l’Inde de toute domination étrangère.

 

 

Gandhi conduisit la marche du sel, célèbre opposition à la taxe sur le sel. C’est lui qui lança également l’appel au mouvement Quit India le 8 août 1942. Il fut emprisonné plusieurs fois en Afrique du Sud et en Inde pour ses activités ; il passa en tout six ans de sa vie en prison.

 

 

Profondément religieux et adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Il faisait et lavait ses propres vêtements — le traditionnel dhoti indien et le châle, avec du coton filé avec un charkha (rouet) — et était un militant végétarien. Il pratiquait de rigoureux jeûnes sur de longues périodes, pour s’auto-purifier mais aussi comme moyen de protestation, d’influence et de réforme chez autrui.

 

 

Gandhi est reconnu comme le Père de la Nation en Inde, où son anniversaire est une fête nationale. Cette date a également été déclarée « Journée internationale de la non-violence » par l’Assemblée générale des Nations unies en 2007.« 

 

C’est ainqie que commence le très long article, consacré à cette « légende vivante du pacifisme » mais, pour notre part, nous allons passer directement, voire abruptement à :

 

Assassinat (1948)

 

« Le 30 janvier 1948, en chemin vers une réunion de prière, Gandhi est abattu par balles près de Birla House, à New Delhi, par Nathuram Godse, un hindou nationaliste qui a des liens avec le groupe fascisant Hindu Mahasabha. Godse tenait Gandhi pour responsable de la partition de l’Inde et par là de son affaiblissement.

 

 

Jawaharlal Nehru s’adresse en ces termes à la nation à la radio :

 

 

« Amis et camarades, la lumière a quitté nos vies, l’obscurité est partout, et je ne sais pas trop quoi vous dire et comment vous le raconter. Notre dirigeant bien aimé, Bapu comme nous l’appelions, le père de la nation, n’est plus. Peut-être ai-je tort de dire cela ; néanmoins, nous ne le verrons plus comme nous l’avons vu toutes ces années, nous ne pourrons plus lui demander conseil ou consolation, et c’est un coup terrible, pas seulement pour moi, mais pour des millions et des millions dans ce pays. »

 

 

Selon sa volonté, la plupart de ses cendres furent dispersées dans plusieurs grands fleuves du monde tels que le Nil, la Volga et la Tamise. Deux millions d’Indiens assistèrent à ses funérailles.

 

 

Le mémorial de Gandhi (ou Samādhi) à Rāj Ghāt à New Delhi, porte l’épitaphe (Devanagari: हे ! राम ou, Hé Rām), qui peut être traduit par « Oh Dieu ». Il est largement accepté que ce furent les derniers mots de Gandhi, bien que certains le contestent.

 

 

Godse et son complice Narayan Apte sont jugés et condamnés à mort, puis exécutés le 15 novembre 1949.

 

 

En mars 2009, des objets ayant appartenu à Gandhi sont vendus en un seul lot aux enchères au prix de 1,8 million de dollars, lors d’une vente controversée et adjugée à un milliardaire indien, Vijay Mallya. Le vendeur, James Otis, a fait savoir qu’il utiliserait le profit de cette vente pour promouvoir la non-violence et le pacifisme…« 

 

Pour lire l’article complet, cliquez sur :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mohandas_Karamchand_Gandhi

 

Signé : un pacifiste convaincu !

 

 

 

 

 

Mort pour la paix : Mahatma Gandhi et l’impossible entente

 

 

 

 

 

 



Laisser un commentaire

Vous devez être connecté pour publier un commentaire.


» Se connecter / S'enregistrer