Christophe Alévêque sera cette année encore en « avant-première » à l’ECLA le 26 juin à 20h30, pour son nouveau spectacle « Ca ira mieux demain ».

 

 

Ce spectacle sera ensuite joué au Festival d’Avignon au Théâtre du Chêne Noir et à partir du 15 septembre au Théâtre du Rond-Point à Paris.

 

Pour se mettre en appétit, voici ce qu’en dit le metteur en scène Philippe Sollier :

 

« Ca ira mieux demain » : un drôle de titre pour une drôle d’époque. C’est le moins que l’on puisse dire, car par une étrange prémonition, nous avons construit ce spectacle sur les bases d’une société bouleversée. Le personnage central (Christophe Alévêque) est une sorte d’anti-héro parti en quête de ses rêves les plus extravagants. C’est un homme à la recherche d’absolu qui se voudrait tour à tour virtuose du piano, Don Quichotte, comique centriste, philosophe des temps modernes. Tout cela dans une espèce de délire onirique savamment ordonné.

 

Pour cela, nous tentons de créer une ambiance unique, à la fois chaude et réaliste où se mêlent l’humour, la chanson et la musique. Le jeu d’acteur est axé sur la sobriété, une certaine démence et beaucoup de lucidité.

 

Le tout donne au spectacle un côté atypique et très près de Christophe.

 

En ce qui concerne la mise en scène, le travail collégial avec Thierry Falvisaner a su m’apporter les éléments qui me manquaient. Nous avons travaillé ensemble sur la pureté du jeu et l’élégance de la lumière.

 

Ainsi nous espérons vous livrer de véritables moments de plaisir sans oublier une certaine conscience politique, car aujourd’hui plus que jamais, l’humour prend tout son sens. Pour conclure, je dirai donc que les humoristes creusent souvent leur tombe avec le rire des autres ».