Tel pourrait être le nouveau dicton applicable à Vaux en Pré pour ce dimanche passé à l’église Saint Roch/Notre Dame.

 

Devant une assemblée très nombreuse et attentive, Madame Laurence Blondaux a présenté et commenté les peintures murales actuellement visibles dans le choeur. Donnant des interprétations facilitant leur lecture et leur compréhension et suscitant presque des vocations de restaurateur/conservateur.

 

Le jeune quatuor Ashka, dans une interprétation pleine de sensibilité a offert alors le quatuor n°8 de Chostakovitch à un public saisi d’émotion à l’écoute de cette terrible musique.

 

Monsieur Jean-Paul Lemonde a attisé la curiosité de l’assemblée dans une approche dynamique de la compréhension de l’architecture et de la construction des églises romanes dont celle de Vaux en Pré. Tout en démythifiant quelques idées il nous a apporté quelques clés pour transformer notre terre si imparfaite en Paradis céleste.

 

Le Quatuor Manfred dans un très fort engagement artistique a propulsé une église comble au fil de chaque touche d’archet vers un moment de pur bonheur avec successivement un quatuor de Mozart N°14 puis le déchirant, virevoltant, émouvant quatuor de Tchaïkovski N°3. C’est après un bis de Haydn que sous une pluie battante nous dûmes nous quitter. Un Au revoir ?