Outre Madame Marie Claude Jarrot, Maire de Montceau, son Adjointe à la culture Jocelyne Buchalick et Jean Marc Frizot 1er Adjoint de Blanzy nous trouvons là une cinquantaine de spectateurs au dernier rang desquels se trouve Madame Bang Hai-Ja elle-même toujours aussi humble, souriante et Zen.

 

 

Le récital auquel tous assistent rend hommage à Bang Hai-Ja dans le cadre de sa somptueuse exposition de peintures. Cela permet aussi au public de découvrir la musique et la poésie Coréennes.

 

 

 

Deux jeunes musiciennes, Song Ji-Yun et Kwon Han-Sol, jouant respectivement de la flute Daegum et de la Cithare Géomungo accompagnent une lectrice Han Yumi et un récitant Hervé Péjaudier.

 

Han Yumi lit les poésies en Coréen et Hervé Péjaudier les restitue en Français.

 

 

Hervé Péjaudier fait connaître les instruments de musique aux spectateurs avec la complicité des deux musiciennes Coréennes qui étudient en France à très haut niveau universitaire.

 

La cithare Géomungo est un long instrument de près de deux mètres à 6 cordes jouées à l’aide d’un plectre en bambou (ou en plastique) et la Taegum, ou Daegum, est une grosse et grande flûte en bambou dont la flutiste tire des sons très variés dans des tessitures étendues.

 

 

C’est dépouillé mais très profond et la musique bien qu’étrange à nos oreilles occidentales s’avère envoûtante.

 

 

L’hommage à Bang Hai-Ja se fait en Coréen et en Français au travers de poèmes extraits de « Souffle de lumière » et d’autres recueils dont certains ont été illustrés par elle.

 

 

Un récital de très haute tenue dont les spectateurs sont repartis ensuite avec au cœur une parcelle du pays du matin calme.

 

 

 

Gilles Desnoix