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lundi 29 mai 2017 à 11:32

REACTUALISE à 20 h 43 : Faits divers – piscine de Sanvignes ça recommence…

une quarantaine d'intrus, hier dimanche ! Un maire excédé qui continuera à barrer la route aux contrevenants



 

 

 

 

 

Le maire Jean-Claude Lagrange a convoqué ce lundi soir, aux abords de la piscine, le conseil municipal dans son intégralité, afin de mettre les choses au clair sur les intrusions qui ont encore eu lieu dimanche en ce lieu.

Comme l’a précisé l’élu « Nous ne sommes pas dans une situation de crise comme il y a deux ans, où nous avions été obligés de vider le bassin et de fermer la piscine au public ». Ajoutant qu’ils avaient pris trop de temps à solutionner cette « affaire ». Et de ce fait, « On nous a accusés d’inciter les jeunes à entrer par effraction dans le bâtiment » dira Jean-Claude Lagrange, très remonté. En effet, la barrière d’entrée n’étant pas très haute, il était facile de l’escalader sans problème.

 

« Mais nous avons mis des barrières de 3 m de haut et cela n’a servi à rien puisqu’hier, certains d’entre eux se sont aplatis comme des crêpes et sont passés sous les barrières. Nous avons donc mis, cet après-midi, de l’enrobé pour réduire au mieux le passage » continue le maire.

 

De plus, ce dimanche, les caméras de surveillance ont enregistré les voitures et les visages des personnes qui sont entrées par effraction, dès 17h40 (ce sont les caméras qui le révèlent). Le protocole est toujours le même : deux jeunes viennent en repérage, puis appellent les copains. Ils viennent par petits groupes de 5 ou 10, mais étaient une quarantaine en tout.

 

Mais comment entrent-ils puisque des barrières de 3 m ont été placées depuis les effractions d’il y a deux ans ? « Ils montent sur le petit portail puis passent par le toit ! Laissant au passage leurs empreintes… » explique le maire.

 

 

Jean-Claude Lagrange informe également que M. le Sous-préfet est venu cet après-midi à la piscine avec le commandant Berthelon et qu’il a reconnu que la municipalité avait fait plus que le strict minimum pour éviter ces problèmes. Tous ont visionné les vidéos de surveillance et les sanctions seront prises puisque certains individus sont parfaitement identifiables. « Mais maintenant, c’est à la police de jouer. Nous avons fait l’impossible » conclut M. Lagrange.

 

Seulement, les policiers ont autre chose à faire que de surveiller sans arrêt la piscine et les élus n’ont pas à s’exposer aux insultes et aux débordements de la part de ces contrevenants.

 

Les policiers présents sur place ce soir ont déclaré qu’ils allaient faire des passages sur les lieux, identifier les responsables et les entendre au commissariat. Mais que risque-t-ils, à part une amende de 11 euros ?

 

En tous cas, pour Jean-Claude Lagrange, il n’est absolument pas question de fermer la piscine et de vider le bassin.

 

« Par contre, nous allons renforcer le contrôle et adapter l’entrée (qui date des années 70) pour que ces jeunes ne puissent pas passer directement dans le bassin sans payer » soupire le premier magistrat, dépité.

 

En attendant, ce dernier a porté plainte. Quand c’est trop, c’est trop…

 

ND

 

 

 

11 h 32 :

 

Les intrusions à la piscine sont de nouveau d’actualité !

 

Ce lundi soir, Jean-Claude Lagrange, maire, va tenir une conférence de presse pour évoquer les suites qu’il va en donner !

 

 

 

En juillet 2015 cet équipement de loisirs avait fait la « une de l’actualité.

 

Les multiples intrusions et les dégâts occasionnés avaient amené le maire à fermer cette piscine, durant l’été 2015. Cette situation va-t’elle se reproduire ? Nous le saurons, ce soir, puisque M. Lagrange a prévu de tenir une conférence de presse pour évoquer ce dossier. Côté police, le « constat » est le suivant : comment intervenir face à une quarantaine de  personnes avec des effectifs largement moins « étoffé » ?

 

M. Lagrange, qui s’est fait insulter lorsqu’il a voulu intervenir, a informé le préfet de Saône-et-Loire de cette situation, la réponse viendra peut-êdtre de là !

 

Annabelle Berthier

 

 

 

 

 

 

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7 commentaires sur “REACTUALISE à 20 h 43 : Faits divers – piscine de Sanvignes ça recommence…”

  1. davsly dit :

    Bjr

    une situation de nouveau inacceptable, les personnes doivent être connus, et doivent faire l’objet de poursuite, de plus que cela crée un climat d’insécurité totale,entre menaces et insultes que justice soit faite, et embarquer les meneurs , qu’ils répondent de leurs actes.

  2. Loulou1 dit :

    Une piscine s’est fait pour se baigner non ?
    bon après si le Maire dit pas maintenant il faut attendre 2 mois alors qu’il assume et demande les moyens de tenir tête aux plus récalcitrants.
    3ème solution la piscine devient une zone de non droit alors là !
    moi.. j’opterais pour la 1ère solution

  3. loupblanc dit :

    comment intervenir face à une quarantaine de  personnes ……..
    Le maire insulté
    a Autun , l’aérodrome bloqué pendant une semaine en toute illégalité
    la justice absente , il faudrait bien vivre ensemble
    des dizaines de milliers de peines non appliquées depuis des années
    un petit rappel d’une info pour mémoire

    Prison : un détenu sur 4 n’est pas présenté au juge, faute d’agents

    •• Selon un rapport, dévoilé mercredi par Europe 1, près d’un détenu sur quatre (24%) ne peut être présenté à un juge dans les régions où son transfert est assuré par l’administration pénitentiaire. Cela par manque de moyens humains.
    • Résultat ? De nombreuses audiences sont retardées. Des détenus sont parfois même libérés faute d’être présentés dans les délais.

    Le manque de moyens accordés à la justice se fait de plus en plus ressentir. Selon un rapport de l’Inspection générale des services judiciaires et des Inspections générales de la police et de la gendarmerie, 24% des détenus ne sont pas présentés aux juges à cause du manque d’agents pénitentiaires. Depuis 2010, ces derniers sont – progressivement région par région – chargés de transférer les détenus en attente de jugement pour soulager les forces de l’ordre.

    à méditer

     

  4. ruddy dit :

    J’espère que cette année on ne va pas apporter la même réponse que celle de l’an dernier à savoir vider les bassins et priver les utilisateurs normaux. Il est certains que les auteurs sont connus ! Toujours les mêmes….. Rappel : le maire et le préfet sont responsables de la gestion des troubles à l’ordre public. Il y a des forces spécialisées en France pour intervenir sur ce genre de problème. C’est sans doute pas assez politiquement correct pour demander une telle intervention….

  5. JPu71 dit :

    Cela n’est pas la première fois qu’une bande d’énergumènes créée des problèmes à la piscine. Récemment la municipalité, avec l’accord total de tous les conseillers a procédé à la mise en sécurité de la piscine qui, par les mois d’été, est un lieu privilégié pour les habitants de la commune de Sanvignes et ses environs. Aussi l’opposition se joint à Monsieur Le Maire et sa majorité pour lui donner son plein accord pour toutes décisions qui sauront ramener le calme et la sécurité pour tous les usagers et riverains de ce lieu de loisirs.
    Jean Pierre JOUTY

  6. josiane49 dit :

    ils sont identifiés ? et bien alors, la procédure serait simple : envoyez-moi tout ce petit monde avide de baignade à la Légion Etrangère en Guyane !!! il y en a la-bas, des rivières où de tremper !!! faut employer les grands moyens !