Cindy Joubert, 29 ans, est fraîchement arrivée à l’office du tourisme de la CUCM. Et c’est au sein du Château de la Verrerie du Creusot que nous l’avons rencontrée.

 

 

Originaire de l’Yonne, elle est titulaire d’un master en management touristique obtenu à Dijon. C’est donc une bourguignonne pure souche qui a d’ailleurs obtenu sa première expérience professionnelle en alternance à Sombernon au-dessus de Dijon. Elle a réalisé plusieurs missions à Dijon, puis a travaillé à l’office de tourisme de Chablis dans l’Yonne dont elle était la responsable.

 

 

 

Intéressée par le canal du centre

 

 

 

Ce qui l’a intéressée dans le poste proposé, c’est surtout la valorisation du canal du centre, elle qui était à côté du canal du nivernais au cours de son précédent poste.

C’est aussi la richesse et la diversité des sites et l’articulation d’une véritable offre culturelle multiple sur le territoire : culture industrielle et fluviale.

 

 

Cela devrait la changer du vin !

 

 

« Il y a de nombreuses richesses, un joli travail de communication et sur l’image » nous a-t-elle confié.

 

 

Lors de la première venue au Creusot, elle nous aussi indiqué sa grande surprise : voir autant de verdure autour de sites industrielles. Une véritable surprise pour cette bourguignonne qui ne connaissait pas encore la Saône-et-Loire.

 

 

Elle a aussi ajouté : « Il y a un potentiel à valoriser, notamment sur les randonnées pédestres par exemple. A ce niveau, il y a un gros travail à réaliser avec la CUCM. Tout est lié. » Et elle déjà la carte du territoire élargi de la CUCM dans son bureau.

 

 

 

Arrivée à son nouveau poste la semaine dernière, elle devrait axer ses priorités sur le développement touristique stratégique à mettre en place sur les prochaines années. Cela devrait passer notamment par l’avancée sur le numérique (facebook, instagram et autres réseaux sociaux), la refonte du site internet.

 

 

L’objectif du développement sur internet est de faire connaître le territoire par les personnes qui y vivent, les habitants devenant de véritables ambassadeurs. Elle espère ainsi impliquer la population locale dans la valorisation de son territoire.

 

 

Autre problématique : être présente là où l’office du tourisme est absente. Cela pourrait passer par le développement de l’accueil hors les murs, se déplacer au-devant des personnes, lors d’événements.

 

 

Sur 10 personnes visitant le territoire, une passe actuellement par l’office du tourisme.

 

 

La nouvelle directrice nous l’assure : « Il y a de beaux projets à mettre en place ! »

 

 

Et elle compte bien sur l’équipe soudée qu’elle a rejoint.

 

 

 

EM