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mercredi 4 mars 2015 à 06:15

C’est arrivé un 4 mars… (Voir la vidéo)

2004 : la mort de l'immense Claude Nougaro !



Une fois encore (et même toujours) grâce l’encyclopédie libre Wikipédia que nous nous sommes souvenu que c’est ce jour là qu’a disparu un « géant »; en l’occurrence :

 

 

 

NOUGARO 03 03 15

 

 

Photo : http://www.ladepeche.fr/article/2009/09/04/666010-toulouse-hommage-a-nougaro-sur-tlt.html

 

 

 

« Claude Nougaro, né le 9 septembre 1929 à Toulouse et mort le 4 mars 2004 à Paris, est un poète et auteur-compositeur-interprète français. Grand amateur de jazz, de musique latine et africaine, jouant des mots avec la langue française, il s’est appliqué tout au long de sa carrière, dans un insolite mariage des genres, à unir chansons françaises et rythmes. Parallèlement à ses activités littéraires et musicales, il s’est adonné à la peinture et au dessin…. »

 

C’est ainsi que commence l’assez long (un peu court à notre goût mais..) article qui ses poursuite notamment par sa :

 

Carrière

 

« Claude Nougaro envoie des textes à Marguerite Monnot, compositrice d’Édith Piaf, qui les met en musique (Méphisto, Le Sentier de la guerre). Il débute sur scène en 1954 dans le cabaret parisien le Lapin agile, à Montmartre, en déclamant des poèmes dont il est l’auteur. C’est dans ce lieu qu’il décide de chanter ses propres textes pour gagner sa vie en 1957 (premier titre « connu » : Destination Vénus ), poursuivant pendant une dizaine d’années dans plusieurs cabarets, au Liberty’s, à La Tête de l’art, au Zèbre8. Durant ces années, Nougaro se fait également parolier pour d’autres interprètes, parmi lesquels Jacqueline François, Philippe Clay, Marcel Amont… (voir À la recherche du son qui fait sens).

 

 

En octobre 1958, il grave, chez Président, ses premiers enregistrements, un super 45 tours sort, précédent un 33 tours 25cm Il y avait une ville qui parait l’année suivante…. » 

 

« La mort de son ami Jacques Audiberti (rencontré en 1952 aux Deux Magots) en 1965 lui fait écrire un hommage en chanson, Chanson pour le maçon. C’est à cette époque qu’il entame durablement sa collaboration avec le pianiste de jazz Maurice Vander, qui deviendra son principal partenaire musical (arrangeur, pianiste et cocompositeur). Il surnomme Maurice Vander « Le Coq’», et c’est en référence à ce pianiste qu’il écrit et chante, plus tard, Le Coq et la Pendule. Outre Vander et Legrand, Nougaro saura s’entourer de la fine fleur nationale (Eddy Louiss, René Nan, Pierre Michelot, Michel Colombier, Michel Portal, Aldo Romano, Didier Lockwood, Michel Gaudry, Bernard Lubat, Richard Galliano, Jean-Claude Vannier, André Ceccarelli…) et internationale (Ornette Coleman sur Gloria, Marcus Miller, Trilok Gurtu, …).

 

 

Bien qu’il soit farouchement opposé à la politique, les évènements de Mai 68 lui inspirent un torrentiel Paris Mai, plaidoyer pour la vie, qui sera interdit d’antenne. Il enregistre la même année son premier album live à l’Olympia : Une soirée avec Claude Nougaro. »

 

« Sa carrière se poursuit alors de façon régulière, ponctuée de succès : le Jazz et la Java (s’inspirant du thème de Three to Get Ready, une composition de Dave Brubeck en 1959)13, Tu verras (adaptation française de O que será de Chico Buarque de Holanda), l’Île de Ré, Armstrong , avec Roger Guérin à la trompette, ou Petit Taureau…. »

 

Pour lire l’article complet, cliquez sur :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Nougaro

 

Signé : amoureux du Jazz et de Nougaro en particulier !

 

 

 

 

 

Claude Nougaro – Le jazz et la java

 

 

 

 

 

 

 

 



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