Association « La Marelle » (Montceau-les-Mines)
Plus de 40 exposants au vide grenier
Va de la terre jusqu’au ciel
D’un pied sur l’autre
Va de la terre jusqu’au ciel
Des bonnets, des sucettes, des petits chaussons, des hochets, une grosse peluche, un combat pour Gabriel
Entre la chance et le puits
Des jeux, des jouets, des cartes et des dés, de petits chevaux, un Spiderman
Tu reviens et c’est fini
Des tasses, des verres, des couverts, des casseroles, une théière, un soleil multicolore
Petite, petite fille
Des outils rouillés, un vieux casque, une chope de bière, un robot ménager, Laurence à mis ses oreilles bleues
Tu es là pour t’amuser
Des cartes postales, de vieux livres, des illustrés, des mangas, un vieux calendrier
Lance bien la pierre
Des habits, des chaussures, un gaufrier, des sachets de lavande, des poupées très apprêtées,
Prends garde où tu mets tes pieds
C’est certain qu’un fond de flute de pan ou une respiration de djembé ferait bien sur la mélopée de Nazaré Pereira, « La marelle ». Mais ne soyons pas trop exigeant tout de même.
A l’école maternelle Jean Michel Folon, dans la cour il y a du monde, vraiment, plus de 40 exposants au vide grenier organisé par l’association La Marelle. Ceci ne peut qu’exciter l’imagination narrative. D’où le recours aux comptines. Du coup comme nous sommes le 31 mai, donc la fête des mères, voila l’extrait d’une bien jolie comptine qui pourrait se passer dans un vide grenier.
J’ai trouvé trois beaux cailloux blancs,
Mais le plus joli que j’aime tant,
Le plus joli, c’est pour maman.
Et j’ai aussi trois beaux rubans,
Mais le plus joli que j’aime tant,
Le plus joli, c’est pour maman.
C. Duparc
L’objectif est de financer les projets de l’école, donc les organisateurs comptent sur la foule, mais sur Montceau, ce même jour, nous trouvons aussi la brocante de Montceau Evasion, au bois du verne, celle des salariés de Webhelp, sur leur parking, puis celle de la Joyeuse pétanque Montcellienne à la Saule au terrain de boule. Et pourtant il y a du monde, ce sera un succès, nous en sommes certains.
Gilles Desnoix