Journée galette des rois à Henri Malot
Un après-midi de fête en musique
C’est l’ADN d’Henri Malot qui se manifeste là.
Henri Malot sans les plaisirs de la table est-ce Henri Malot ? Non, bien sûr, non certainement, donc plaisirs de la table. On ne peut en cette période de tradition échapper au gâteau roi de l’épiphanie la galette des rois. Les résidents d’Henri Malot vont donc tirer les rois, honorer les reines et prendre un maximum de plaisir.
Ceci bien évidemment après avoir dégusté un repas de qualité :
L’incontournable kir va jouer les précurseurs pour une salade colshaw, une échine de porc (toute une par personne ?, non chacun sa tranche) sauce piquante accompagnée de gratin de courge et tagliatelles, fromage blanc…et galette des rois avec fèves et couronnes.
Henri Malot sans un air de fête est-ce Henri Malot ? Non, bien sûr, non certainement, donc air de fête s’il vous plait. Cet air de fête c’est Fernand DESBOIS qui va l’instiller au cours de l’après-midi avec un karaoké d’enfer.
Et l’équipe de la résidence nous affirme que les résidents adorent le Karaoké. Ils sont restés très jeunes et aiment ce genre de divertissements.
En parlant de rester très jeune, nous devons apporter un rectificatif à notre article du 14 avril dernier
https://montceau-news.com/saone_et_loire/309144-assemblee-generale-de-domisol-montceau.html
Il est plus jeune qu’il n’y parait, nous avions affirmé que Pierre Rué avait 80 ans et bien que nenni. Voilà un solide jeune homme de 90 ans. Que voulez-vous la jeunesse n’a pas d’âge et quand il y en a pour plus cher en bougies qu’en gâteau on a tendance à en diminuer le nombre. Avec nos excuses enrubannées d’un joli nœud nous adressons nos félicitations à celui qui a su rester aussi vert. A tel point qu’on le croit plus jeune que sur sa carte d’identité.
Cette rectification indispensable étant faite, revenons au plaisir des résidents et à l’équipe dévouée qui s’occupe d’eux.
Donc bon tirage des rois et s’il n’existe pas encore de détecteur de fèves espérons que ceux qui la convoitent la trouveront.
Gilles Desnoix