Dès vendredi soir, les passionnés de sport halieutique, avaient monté leur « campement » autour du lac du Plessis, du petit étang et des acacias. Au total, 18 équipes inscrites pour l’Enduro de la carpe, autour du président de la Gaule Montcellienne Michel Canet.

 

 

Dans toutes les conversations, le nombre de carpes que les doublettes pourront tirer de l’eau, avec pour comparaison les chiffres de l’Enduro 2017 : 75 carpes pour un total de 367 kg.

 

 

Cette année, pas une seule femme en lice pour cet Enduro. Les concurrents sont tous des hommes dont la moyenne d’âge tourne autour de 35 ans.

 

 

Après un tour d’étang pour y rencontrer les concurrents, quelques-uns d’entre eux accusent une certaine fatigue. « Ces deux pêcheurs ont eu cette nuit leur alarme qui sonnait, preuve d’une touche, et ils n’ont rien entendu ! Ce sont des hommes qui pêchaient de l’autre côté du lac qui les ont avertis par téléphone » s’amuse un pêcheur.
Au fil de la conversation, les pêcheurs sont fiers de nous montrer leurs équipements : on est très loin de la beurgniole de nos grands-pères et du petit banc en bois sur lequel ils s’asseyaient ! Ici, nous trouvons des tentes de très grande qualité, du matériel performant et même nous dira un autre « Il existe maintenant des dispositifs qui lancent l’amorce tout seuls ! ».

 

 

Effectivement, on n’arrête pas le progrès. Mais ce qu’il ressort, c’est que ces hommes sont des passionnés et ils le revendiquent haut et fort !

 

 

Alors, matériel performant ou pas, la pêche sera-t-elle bonne ?

 

 

Résultat un peu plus tard dans nos colonnes.