Comme nos lecteurs le savent, notre travail consiste à rapporter les manifestations des villes, avec photos à l’appui. C’est ce que notre correspondant a fait hier, au Musée de la Mine où l’affluence était importante.

Quelle ne fut pas la surprise (et la colère) de ce dernier lorsque, s’apprêtant à photographier un groupe à la lampisterie, son appareil photo lui fut arraché des mains par un homme à la violence difficilement contenue. Dans le même temps, la femme qui se tenait près de lui essayait de cacher l’objectif de ses mains ! Et que dire des regards incendiaires des deux !

Heureusement, l’appareil photo fut rattrapé de justesse avant qu’il ne s’écrase au sol. On ne saura jamais pourquoi ces personnes ont réagi ainsi, mais en tout cas, si elles voulaient passer inaperçues, c’est raté !

Certains vont nous rappeler le droit à l’image et elles auront raison. Mais il existe d’autres moyens que la violence pour s’exprimer. Cela s’appelle la communication.

Mais peut-être ces gens étaient-ils des vedettes souhaitant visiter le musée incognito ? Ou encore étaient-ils en arrêt de travail ? Recherchés par la police ?

Heureusement que tout le monde ne réagit pas comme eux car il en serait alors fini de notre profession ! La muflerie a encore de vrais beaux jours devant elle…

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