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dimanche 15 octobre 2017 à 07:08

La vie peu commune de Guy Mezery (Blanzy)

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Un talent caché

 

Et pour preuve que Guy a su s’en sortir haut la main, nous vous dévoilerons la semaine prochaine un domaine où il est roi. Et cela se sait et se traduit par une « foultitude » de médailles et de récompenses.

 

 

Bientôt, il lui faudra se faire greffer quelques centimètres de tour de cou pour les faires tenir toutes !

 

Et cette discipline où Guy Mezery excelle, c’est la poésie ! Malgré une vie professionnelle très active, des hauts et des bas dans sa vie sentimentale, des bas plutôt que des hauts durant son enfance, il a su rebondir et conjurer le mauvais sort.

 

Comme quoi, on peut ne pas naître avec une cuillère en argent dans la bouche et finir avec des montagnes de récompenses pour sa sensibilité, sa poésie, sa tendresse…Malgré tout…

 

Un palmarès impressionnant

 

Et en matière de poésie, il en connait un rayon, Guy ! A son actif, 6 romans, dont un écrit dans le train de banlieue entre Saint-Michel-sur-Orge et Paris. Egalement 12 nouvelles et plus de 300 poèmes…

 

Le Blanzynois a participé à son premier concours de poésie à Bourges, vers 1976. Son recueil figure d’ailleurs dans la base Patrimoine Catalogue collectif de France, cote By 7926, fonds local- Berry.

 

Et quand, en 2012, la mairie de Montceau a organisé un concours de nouvelles et de poésies, il a repris la plume et obtenu le 2e prix pour la nouvelle et le premier prix pour la poésie. Et ce, dans la catégorie des plus de 26 ans.

 

Une belle rencontre

 

La rencontre avec la poétesse Annie Jagodzinski, lors d’une séance de dédicace à Saint-Bérain-sous-Sanvignes en 2013, a été décisive pour Guy. Arrêtons-nous quelques instants pour rendre hommage à Annie.

 

Qui n’a jamais entendu parler de cette femme généreuse, attentive aux autres et poétesse dans l’âme ? Chrysalide, De l’ombre à la lumière, Lames de cœur, lames de fond, et son recueil écrit en partenariat avec Maria Burillier, en 2007. Autant de titres qui prennent aux tripes pour certains et qui transpirent le bonheur pour d’autres. Elle a également participé à de nombreux concours de poésie et obtenu elle-aussi de nombreuses distinctions.

 

Bref ! Après avoir longuement échangé avec Annie Jagodzinski, Guy, dès 2014, participe à des concours de poésie. Notamment chez « Le Bleuet international » à Essars où il a obtenu 7 récompenses.

 

La même année, il se lance pour le 46e concours rencontre, Ile des poètes à Sainte-Geneviève- des-Bois. Pour son plus grand plaisir, il glane encore 5 récompenses.
Depuis, chaque année, Guy Mezery participe à 4 ou 5 concours de poésie. De Bayonne à Lille, en passant par Bordeaux, Le Creusot, Moulins, Ste-Geneviève-des-bois et Essars, dans le Nord.

 

Et chaque année, il remporte entre 12 et 15 récompenses. En bref, un total de 59 prix !

 

Le palmarès devient très intéressant… Pourtant, le poète n’est pas tout à fait satisfait. En effet, il manque une récompense à son bonheur : c’est le prix Georges Riguet. Ce dernier est organisé pour honorer la mémoire de l’écrivain creusotin. Il est ouvert à tous les poètes d’expression française. Une seule œuvre est présentée. Tous les genres de textes poétiques de langue française sont admis.

 

« C’est un prix-référence de très haut niveau et j’en fais un objectif à atteindre dans les années à venir » prévient Guy, déterminé à décrocher le Graal.

 

Et pour compléter le tout, Guy Mezery écrit également de la poésie pour le journal « Un Ardennais en Bourgogne » initié par Eric Meny, un blanzynois lui aussi…

 

Enfin, il écrit également des articles (338 à ce jour) dans le blog de l’association des retraités Michelin. Blog qu’il a créé en mars 2007.

 

Alors, Guy Mezery est certes un homme qui a vécu des évènements difficiles dans sa vie, mais qui s’en est sorti haut la main. Juste à force de volonté ! Même pas mal…

 

Fin du récit de la vie de Guy Mezery. Les lecteurs qui souhaitent échanger avec lui ou le féliciter peuvent le faire dans nos colonnes. Et n’oubliez pas : l’un de ses compagnons d’infortune s’appelle Hervé Vilard. Et ce n’est pas « Capri, c’est fini » que nous devons chanter, mais « Saint-Bérain, ça commence » avec le poète Guy Mezery.

 

 

 

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