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vendredi 25 juillet 2014 à 07:52

« Mystères et légendes de nos villages »

Aujourd'hui Mont-Saint-Vincent !



 

 

Aujourd’hui Mont-Saint-Vincent !

 

 

Nous commençons ce thème par ce premier article sur les mystères et légendes de Mont Saint Vincent auquel nous en consacrerons quelques autres…

 


Ces « histoires mystérieuses », ces légendes, nous ont été contées par André Triboulin, Président de l’Association locale « Passion Patrimoine ».

 


Il nous dit :
« Si le Mont Saint Vincent est de plus en plus connu et visité avec son belvédère, son musée archéologique, son jardin médiéval, sa tour de l’assommoir, son église romane… certains lieux demeurent plus discrets, plus énigmatiques ».

 

 

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L’absidiole nord du Sanctuaire :
André Triboulin :
« Sa visite en « cul de four », ses chapiteaux aux décors d’inspiration uniquement végétale, ses astragales solidaires du fût des colonnes laissent entrevoir une construction bien antérieure à l’église romane de la fin du XIème siècle.
D’ailleurs, cette absidiole rappelle en tous points celle de Flavigny (Côte de’Or), reconnue pour être d’époque carolingienne.
Alors ? Existait-il un édifice plus ancien sur l’emplacement de l’église actuelle ? S’agit-il d’un peu probable remploi de matériaux ? »
A chacun de se faire une opinion…

 

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Pourquoi une église sans clocher ?

André Triboulin :
« L’église de Mont Saint Vincent n’a pas toujours été dépourvue de clocher ; jusqu’à le révolution, une tour carrée surplombait la croisée du transept, décrite en ces termes par le curé de l’époque (retranscription exacte) « …large et haute tour quarrée avec un couvert en laves à peüde pante et un poulet au dessus ; il est situé sur le bord de la montagne, à l’orient… »
En 1793 – 94, ce clocher menaçant ruine est détruit et les cloches sont transférées dans le local qui domine le porche.
A noter qu’au cours de cette démolition, le chef de chantier eut une jambe cassée on voulut y voir une manifestation de la providence… »

 

 

 

 

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Une Disparition inquiétante :

André Triboulin :
« En 1844, un énorme bloc de rocher, en granit, se détacha du sommet du mont et se stabilisa au bord de la route située en contrebas et qu’on appelle « la Rampe ». La légende prétend qu’une jeune bergère, disparue le même jour serait enfouie dessous et que longtemps, son chien fidèle tourna autour de cette « grosse pierre ».

 

A bientôt pour d’autres mystères et légendes….

Jean Michel Lendel

 

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