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vendredi 24 octobre 2014 à 21:47

CSL Tennis de Saint-Vallier



 

 

 Une solution sera-t’elle trouvée

 

ce samedi midi ?

 

C’est ce qui semble ressortir de la rencontre, ce vendredi après la manifestation des membres du CSL Tennis qui doit se réunir, en urgence, ce samedi matin !

 

A la réunion de ce soir, participaient : Alain Philibert, maire, entouré de membres de la municipalité et M. Faure, président du club ainsi que des membres de son bureau !

 

Rappel des faits

 

Si un « arrangement » avait été trouvé le 3 juillet dernier, le 9 du même mois, le conseil d’administration la contestait ! Décision qui consistait à redonner une licence aux deux enfants de M. Cherfa mais sous certaines  conditions, la première étant  que celui-ci : s’acquitte du montant des cotisations, qu’il  n’assister pas aux entraînements dispensés par l’éducateur du club de tennis et n’intervienne pas dans les décisions de l’éducateur, qu’il déposera ses enfants à l’entrée des tennis couverts mais ne rentrera pas sur les courts et enfin, en cas de non-respect de règles ci-dessus, le club se réservait le droit de ne plus accepter les enfants !

 

Rappelons encore qu’avait été organisées  deux réunions de médiations, les 26 juin et 3 juillet 2014, réunissant Municipalité, Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation du TGI de Châlon sur Saône, M. Cherfa, ainsi que M. Faure, Président du CSL Tennis, qui n’avait pu être présent  lors de la 1ère réunion.

 

Que va-t’il advenir ?…

 

M. Philibert a été très clair : « si vous n’acceptez pas de redonner une licence aux enfants de M. Cherfa, la situation risque d’empirer… Le procureur de la République a saisi le dossier mais le préfet, alerté, peut également prendre  une décision ! Peut-être même, ce week-end ! »

 

En fait, lors de cette rencontre de ce vendredi soir, nous avons appris que « l’affaire » remontait à 2008 ! A l’époque, le président avait déjà tenté l’expérience d’accepter, à nouveau, les enfants de M. Cherfa mais celui-ci n’avait pas respecté les règles, pourtant acceptées par lui ! Comme dit le proverbe : « chat échaudé, craint l’au froide ! » Donc, l’on comprend la réticence de certains… D’autant que le propre frère de M. Charfa avait, selon certains, été lui-même menacé par son frère alors qu’il était l’entraîneur de ses enfants…

 

Finalement, après discussion(s), le club a décidé d






5 commentaires sur “CSL Tennis de Saint-Vallier”

  1. scania dit :

    c’est grave docteur ?

  2. Voltaire dit :

    Nous n’avons qu’une seule version de l’affaire, en droit français, il faut écouter toutes les parties avant de rendre justice. Il semble que la partie qui fait le plus de bruit soit bien organisée, elle a en effet rallié à elle d’autres clubs qui n’ont aucun lien avec l’affaire.
    Il ne manque plus que la tondeuse et en place public svp !

  3. lecep dit :

    Ah ben… Doit bien rigoler l’Kader!!!

  4. Cdubo dit :

    A voir les photos des deux personnes feminines membres du conseil ainsi que M. Le Maire, très pensifs, je ne vois pas ce qu’ils peuvent encore trouver à redire pour se défausser, aux membres du bureau du tennis club, après toutes ces années.(2008)
    Ces trois membres de la municipalité ont été de toutes les réunions concernant cette « affaire » depuis le début.
    Attendons une hypothétique décision administrative ou judiciaire comme le réclame le maire, selon l’article.
    Quelqu’elle qu’elle soit, la municipalité n’aura encore pris aucune décision.
    Cela s’appelle le courage politique.

  5. sebos dit :

    Je pense que la population et surtout monsieur le MAIRE ont tendance a oublier que c’est une personne vraiment mais alors vraiment irrespectueux envers les instit directeur d’écoles primaire , collège , administré , même des agents de la municipalité de monsieur le MAIRE qui ont même peur d’aller sur leur lieu de travail , qu’ attendons nous , qu’ il arrive un drame et après le maire dira qu’ il n’était pas au courant alors qu il a laissé et laisse toujours cette situation pourrir la vie de ceux qui se lève pour allé bosser ou pour ceux qui boss pour pouvoir payé leur loisir . HONTEUX .