La 23e édition a remporté le succès

 

habituel avec plusieurs milliers de visiteurs

 

 

Et sous le soleil en prime ! Dès potron-minet ce dimanche, la longue file des véhicules des exposants a sorti le quartier des Bois-Francs de sa torpeur. Mais c’était pour la bonne cause : plus exactement pour la très attendue réderie annuelle.

 

La 23e édition n’a pas failli à sa réputation puisqu’elle a attiré plusieurs milliers de visiteurs. Très prisée, cette année encore, ce ne sont pas moins de 400 emplacements qui avaient été réservés, par 250 exposants. « Un chiffre qui se maintient par rapport aux éditions précédentes » annonce Mme Debusscher, directrice de l’école Henri Wallon.

 

 

Cette manifestation était organisée par l’école précitée au profit des élèves de cet établissement et de l’école Jean Damichel. Mais un évènement de cette envergure n’aurait pu être mené à bien sans le concours de partenaires. A savoir : le FJEP, l’Amicale laïque, l’association de parents d’élèves, l’école Jean Damichel etc.

 

 

Un travail titanesque pour les 85 bénévoles mobilisés depuis plusieurs jours sur le terrain. Mais la récompense a été au bout des efforts consentis par les équipes, composées d’anciens parents d’élèves et de nouveaux également. Ceux-ci ont aussi vendu des fleurettes au bénéfice des écoles.

 

 

Et on peut dire que les visiteurs venaient quelquefois de loin puisque nous avons croisé des hollandais qui font le voyage depuis maintenant huit ans, spécialement pour assister à la réderie.

 

 

Mais outre les stands regorgeant de bonnes affaires, les badauds ont pu se délecter de joyeuses d’animations. Et ce, de 14h à 18h. Ainsi, le Gus Circus a présenté le « Batucada ». Tambours, tambourins, jongleurs ont fait le bonheur de la foule à plusieurs reprises dans l’après-midi. D’époustouflants numéros de trapèze ont aussi attiré les promeneurs.

 

 

Enfin, les amateurs de danse ont pu admirer Sandra Pradines et Alexis Guey, tous deux en formation dans des écoles de danse (Sandra à Paris et Alexis à Angers), afin de devenir danseurs professionnels. Hip-hop, jazz et danses contemporaines ont charmé, même si on aurait voulu que ces démonstrations durent un peu plus que quelques minutes.

 

 

Et cerise sur le gâteau, tous ont pu trouver du réconfort après l’effort : buvette, restaurant avec les traditionnelles moules-frites, sandwichs.

 

 

Et si les visages des exposants montraient quelques signes de fatigue après une journée entière à accueillir les clients, tous avaient conservés bonne humeur et courtoisie. Et c’est bien cela l’esprit de la réderie des Bois-Francs. Un grand coup de chapeau aux organisateurs, bénévoles et aidants ! La 23e réderie est morte, vivement la 24e !