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vendredi 14 octobre 2016 à 07:21

Assemblée générale de l’Abreuv’art des galipotes (Saint-Vallier)

Déjà tout d’une grande



Evidemment, on ne parle pas du mètre cinquante-trois de Fabiola Giorgi mais de l’association qu’elle préside car, en l’espace de deux ans, l’association l’Abreuv’art des galipotes a pris à Saint-Vallier une envergure, une notoriété à donner le tournis. De par le nombre de ses adhérents au nombre de 437 dont 132 sont valloiriens (soit 30.25%), que 42 sont âgés de moins de 18 ans, que le plus jeune a 4 ans et le plus âgé 82 ans. Certes, notifiait néanmoins Claire Brunel, « l’augmentation des adhésions est due au fait que pour participer aux bœufs musicaux, il faut adhérer ».

 

 

Indépendamment du nombre d’adhérents, cette assemblée générale qui s’est tenue en milieu de semaine à l’ECLA, a surtout mis en avant, outre le fait que les animations proposées sont nombreuses et variées, c’est le côté « le cœur sur la main » qui marque avant tout les esprits. L’Abreuv’art des galipotes organise, anime, fait rentrer de l’argent dans la caisse et le redonne pour des bonnes causes. « Faire des dons, c’est ce qui me tient à cœur » rappelait Fabiola Giorgi. La somme versée est de l’ordre de 3622€, notamment à l’association APPUIS qui vient en aide aux enfants au Niger, à l’AFM téléthon et aux Restos du cœur.

 

 

D’ailleurs, Christophe Dumont, adjoint à l’éducation, chargé de représenter la municipalité et en l’occurrence Daniel Meunier, absent car retenu par d’autres obligations et encore adjoint à la culture (Ndlr : nous apprendrons le jour même qu’il a présenté sa démission d’adjoint tout en restant conseiller municipal), ne fera que des éloges de l’association. « J’ai beau chercher des reproches, je n’en trouve pas » lançait-il à la présidente. « Vous êtes une association jeune et particulièrement dynamique (…), qui plus est, vous remplissez parfaitement les engagements réciproques inscrits dans la charte conduite par Daniel Meunier ». Ce dernier, dans un message adressé à l’association, soulignait en particulier le côté humanité des actions menées.

 

 

En résumé, si l’Abreuv’art des galipotes n’existait pas, il faudrait l’inventer et de toute urgence. Car, un jour ou l’autre, vous, votre enfant ou même toute la famille, tomberez nez à nez avec les Galipotes, au bœuf musical, aux cours de théâtre, de chant, à l’atelier créativ’art, aux prochains Queulots folies, un soir après un spectacle à l’ECLA et partager un verre avec les artistes. Un signe de reconnaissance ? Toujours de bonne humeur et un sourire !

 

 

Jean Bernard

 

 

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