Portrait (Saint Vallier)
Alain Girard, de la gomme à la peinture
1972
Alain Girard, comme beaucoup de jeunes à l’époque, entre à la manufacture Michelin comme bobineur. Deux ans plus tard, est venue pour lui, de 1974 à 1975, la période incontournable du service militaire en Allemagne. Comble de l’ironie, la veille du départ, il rencontre Josette, celle qui deviendra plus tard son épouse.
1976 – 1985
Le jeune homme n’a aucun mal à réintégrer Michelin, qui reprend automatiquement les jeunes revenant de l’armée. Cette fois, il travaille au laboratoire de chimie de l’entreprise, avant de devenir moniteur où il enseigne les gestes de sécurité auprès de ses collègues.
1989 – 2011
Alain Girard a gravi les échelons et se retrouve à présent agent de maitrise. Mais depuis 2004, fort bon dessinateur, il songe à aborder la peinture sur toile. Et ce, après avoir vu une exposition et su qu’il était possible d’apprendre à pratiquer cet art. L’apprentissage se fera à Montchanin, à l’école de peinture de Sandrine Gay. Mais ce qu’il veut, c’est s’exercer à l’aquarelle. Or, cela ne se passe pas tout à fait comme cela.
2011 – 2015
Il a fallu tout d’abord aborder le dessin, le fusain, le pastel, les perspectives, l’huile au pinceau puis enfin, l’aquarelle. Et c’est véritablement le début d’une passion qui conduit le Valloirien à peindre encore et encore. Il expose ses œuvres dans les galeries des environs, avec un beau succès.
Depuis janvier 2016, il fréquente l’école d’Isabelle Nugues à Pouilloux. Il y apprend les bases du portrait et a peint celui de sa petite-fille Léa, 3 ans. Ses œuvres, très éclectiques, vont du paysage à l’art africain, en passant par des sanguines et des aquarelles.
Les tableaux d’Alain Girard méritent vraiment le détour. Pour le contacter : 06 10 99 44 80
Le portrait de Léa, 3 ans, sa petite-fille
Lors du marché de Noël de Sanvignes le week-end dernier
Le tout premier tableau d’Alain Girard,
un timide essai qui en entrainera beaucoup d’autres
A l’école de Sandrine Gay à Montchanin