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mercredi 15 février 2017 à 13:41

Collège Copernic – La réaction du DASEN, Fabien Ben

« La situation n’est pas figée »



 

Joint par téléphone, Fabien Ben, directeur académique des services de l’éducation nationale à Mâcon, a bien voulu réagir au mécontentement des parents d’élèves et des professeurs du collège Copernic à Saint-Vallier.

 

D’abord sur l’audience proposée le 8 mars 2017 à 18h30 à Mâcon, date que le président des parents d’élèves, Stéphane Fel a refusé : « Le calendrier ne convient pas mais je n’ai pas pu dégager une autre date, mon agenda est bloqué. Le 8 mars, j’expliquerai mes choix et nous échangerons ».

 

En ce qui concerne la prévision de supprimer une classe à la rentrée 2017 : « Une première analyse des effectifs se fait en décembre/janvier avec les prévisions du chef d’établissement. Nous procédons de la même façon pour les 51 collèges du département. Je fais confiance aux chefs d’établissements. Et lorsque des élèves quittent un établissement, nous devons le prendre en compte ».

 

 

D’après les chiffres en notre possession et le tableau « structure prévisionnelle 20 divisions », Copernic perdrait une classe en septembre 2017. « Parce que de plus en plus d’élèves quittent le collège » explique Fabien Ben. Je donne 20 divisions (classes) mais le chef d’établissement peut très bien ne proposer que 4 classes en 3e au lieu de 5 et en avoir 6 en 6e. Le chef d’établissement fait la répartition comme il l’entend. Les choix se font à partir d’une réalité locale ».

 

Alors Copernic perdra-t-il une classe (de 21 à 20) à la rentrée prochaine ? « La situation n’est pas figée, la décision se prendra en juin, il peut toujours y avoir des ajustements comme l’an dernier justement où nous devions supprimer une division or ce ne fut pas le cas ».

 

Jean Bernard

 

 

 

 

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Photo d’archives

 

 

 

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Un commentaire sur “Collège Copernic – La réaction du DASEN, Fabien Ben”

  1. quandcesttrop dit :

    Comment peut-on occuper un poste comme celui-ci et maîtriser aussi peu ses dossiers ?

    Ah oui, c’est vrai : il a une secrétaire générale… un chauffeur aussi d’ailleurs… Enfin cela n’a rien avoir avec les moyens attribués aux collèges.

    Si une classe de troisième est retirée, les 3èmes seront au minimum à 31 par classe. Car 25+25+25+25+25=125 et 125/4, tu devrais pouvoir faire ça avec ton smartphone… 31,25 !

    « Nous devions supprimer une division or ce ne fut pas le cas » … à regarder le graphique ce n’est pas 1 classe qui a été supprimée mais bien 2 cette année… car 23-21=2 Monsieur l’ancien instituteur.

    Mais peut-être avons-nous déjà atteint le seuil de la surcharge cognitive ?

    Le chef d’établissement ne fait donc pas la répartition comme il l’entend mais comme on l’y oblige à priori…

    J’ai une idée, si à la place des suppressions d’écoles et/ou de classes, nous supprimions l’ensemble des services de l’inspection… on engrangerait des économies phénoménales que nous pourrions basculer pour accompagner réellement les élèves qui en ont besoin. Non ?