Comité En Marche du bassin minier
Atelier-rencontre consacré à l'éducation !
Un atelier animé par Mme Caroline Gulam Nabi qui a commencé par dire que l’éducation et un chantier prioritaire pour le gouvernement ce qui se traduira par une hausse sensible, dès 2018, du budget de l’Education Nationale; hausse de 1,2 milliard d’euros pour dépasser les 50 milliards, dès l’année prochaine.
Mais revenons-en à cette réunion qui se tenait à la maison des sociétés de Blanzy où elle a encore précisé que le gouvernement visait les 100 % de réussite dès le primaire et cela grâce au dédoubelement des classes de CP en zones prioritaires, l’évaluation des compétences (tout comme en 6ème d’aileurs). En ce qui concerne les enfants plus âgés, sont également prévus : des stages de réussite dès le CM2, l’adaptation des rythmes scolaires au collège, la volonté de redonner confiance à tous les acteurs, l’instauration de l’aide aux devoirs, le rétablissement des classes bilingues (avec accent mis du le latin et le grec), l’embauche de 8000 AVS supplémentaires, portant leur nombre à 50 00 pour accompagner les élèves, notamment les 142 000 en situation de handicap etc. Un sujet qui a fait débat lors de cette soirée !
Le prochain atelier du genre est prévu pour le 12 décembre prochain et toujours à Blanzy.
Annabelle Berthier
4 commentaires sur “Comité En Marche du bassin minier”
oh la! quel succes , au moins 6 personnes à cette réunion ! la marche marque le pas!!!
100% de réussite ça n’existe pas ! Ce n’est même pas de l’utopie. De la pure sottise peut-être ?
100% de réussite ! A une époque, bac et post bac, peu y accédaient, mais le pays avait des menuisiers, des charpentiers, des bouchers, des serruriers, des chaudronniers et autres métiers recherchés aujourd’hui.
Ces jeunes étaient ils plus idiots que les bacs et post bacs. NON, mais au fil du temps la nomenklatura « Education Nationale » a décrété que ces filières n’étaient pas valorisantes… et ont été abandonnées par manque de candidats à qui le crâne a été bourré de « tu peux faire mieux », « pas un CAP, BEP » etc… Tous bac ou +, et tous au chômage ou presque. Il n’est pas de sots métiers et nos campagnes ne survivront qu’avec des personnels artisans, compagnons et ouvriers vrais et mieux rémunérés.
Méditez avec moi ce vieil adage populaire aujourd’hui considéré comme incorrect…et c’est vrai qu’il l’est : « Une bourrique n’a jamais fait un cheval de course ». Croyez vous qu’un cheval de course soit capable de faire le travail d’une bourrique.
Il faut avoir beaucoup de courage pour lancer le débat sur un sujet aussi important.
Quand le citoyen réclame une discussion et que le politique répond présent on doit plutôt être heureux et soutenir la démarche plutôt que de critiquer, non?
Ce n’est pas la faute du politique si le citoyen ne veut pas prendre part aux décisions et rédaction des futures lois.