Mardi soir, au Centre Nautique, Laurent Selvez, les élus et adhérents socialistes ont invité les montcelliens à participer à une réunion pour venir échanger, débattre et réfléchir à l’avenir de Montceau-les-Mines.

 

 

Cette réunion fait suite à une première séance « Ensemble, imaginons notre ville demain ! » qui s’était déroulée le 28 février sur deux thématiques : l’urbanisme et l’attractivité commerciale.

 

 

Culture, vie associative, animations furent les trois thèmes abordés ce mardi.

 

Laurent Selvez introduit le programme et donne le déroulement de la soirée.

 

 

« Nous devons réfléchir à ce que pourrait être notre ville, faire le constat des politiques menées sur cette ville, faire des critiques, même si tout n’est pas à jeter, puis imaginer, inventer des nouvelles politiques ».

 

 

Il est proposé aux 22 participants de travailler en deux ateliers et de répondre au questionnaire qui doit alimenter les réflexions et les propositions sur les 3 thématiques annoncées.

 

 

Puis, deux rapporteurs font la synthèse pour l’assemblée.

 

« Concernant les associations, il faudrait mettre en place des règles de gestion, des commissions pour avoir une équité de traitement, de la transparence. Il faut reconnaître l’importance et l’utilité des associations, mutualisation des moyens. La présence des élus aux AG est remarquée.

 

Au niveau des associations, si la gestion n’est pas catastrophique, le personnel qui gère la vie associative a des effectifs en baisse, c’est inquiétant !

 

D’autre part, les associations ont des difficultés à renouveler leurs instances. Comment redonner l’envie aux jeunes de s’investir ?

 

C’est la richesse de notre ville et il faut la préserver ! »

 

 

« Au niveau de l’Embarcadère, la situation semble s’améliorer après des débuts poussifs en 2014. On n’a pas le même niveau de programmation que par le passé.

 

Les participants regrette le festival TSB. Il faut réinventer un festival fédérateur pour l’avenir. On n’a plus à la tête de l’Embarcadère un véritable programmateur, un directeur, avec un carnet d’adresses conséquent. Le personnel n’a pas les moyens d’aller voir des spectacles, de se déplacer, d’être en recherche active. Et donc pas la capacité d’aller chercher de nouveaux artistes.. Le nombre d’abonnés est passé de 2000 à 1000. Tout est à reconstruire.Il faut réinventer une véritable politique culturelle. »

 

« Si l’Eté du Lac fonctionne, il ne se passe pas grand-chose en centre ville. Il faudrait envisager des animations, au port, en direction des touristes, des marchés artisanaux,
des animations dans les quartiers, des animations communautaires du genre « Gares Folies » (pour les 40 ans de la CCM). »

 

 

La prochaine réunion portera sur les Services Publics dans les quartier.

 

 

 

J.L Pradines