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jeudi 18 décembre 2014 à 05:06

C’est arrivé un 18 décembre… (Voir la vidéo)

1952 : naissance de Bettina RHEIMS (Photographe)



L’incontournable encyclopédie libre Wikipédia est, décidément, une source intarissable pour cette rubrique, sur lquelle, soit dit en passant, nous aimerions connaitre votre sentiment ! Pour ce faire, écrivez à :

 

pascalberthier@montceau-news.com

 

Cela étant, arrivons-en au « sujet » du jour en l’occurrence de 

 

Bettina Rheims 17 12 14

 

Photo : http://www.loeildelaphotographie.com/fr/2014/09/12/exposition/26122/londres-bettina-rheims-bonkers-a-fortnight-in-london

 

« Bettina (Caroline Germaine) Rheims est une photographe française, née à Neuilly-sur-Seine le 18 décembre 1952. »

 

Biographie

Débuts

« La carrière de photographe de Bettina Rheims démarre en 1978. Elle réalise cette année là une série sur un groupe de strip-teaseuses et d’acrobates qui donnera lieu à ses premières expositions. Ce travail révèle le sujet de prédilection de Bettina Rheims, le modèle féminin, auquel elle reviendra fréquemment durant sa carrière.

 

“Jaime la chair. Je suis un photographe de la peau”.

 

La décennie 80 est l’occasion pour Bettina Rheims de réaliser plusieurs portraits de femme connues ou pas qui feront l’objet d’un ouvrage : Female Trouble (1989).

 

En 1982, la série Animal lui permet de poser son objectif sur une autre forme de nudité : celle d’animaux naturalisés au regard fixe, “qui semblent vouloir nous exprimer quelque chose au-delà de la mort”. “Il fallait que j’arrive à capter leur regard” a déclaré la photographe.

 

Avec Modern Lovers (1989-1990) la photographe questionne le genre, l’andogynie et la transexualité. Suivront deux autres ouvrages sur le même sujet : Les Espionnes (1992) et Kim (1994). »

 

Les années 1990

« Au début des années 1990, Bettina Rheims travaille sur une de ses séries majeures intitulée Chambre Close (1990-1992), la première en couleur, qui marque le début de sa collaboration avec le romancier Serge Bramly, dans un ouvrage où les clichés de la photographe sont accompagnés d’un récit de l’écrivain. Chambre close dans sa forme parodie les premières photos pornographiques — pièces aux murs défraîchis, papiers-peints passés — mais dans son fond s’attache à mettre en scène des modèles non professionnelles pour jouer de l’érotisme et de la confusion entre celui qui regarde et celle qui se montre…. »

 

Les années 2000

« En 2002 Bettina Rheims réalise une série sur Shanghai au cours de deux longs séjours sur place. « Les premières impressions du voyageur arrivant à Shanghai sont celles d´une population toujours ancrée dans ses rites et traditions historiques, qui se lance aujourd´hui dans une course effrénée à la modernité. Cherchant à se fondre dans cet « autre mode de pensée » en faisant fi de tout préjugé, c´est un regard vierge et émerveillé sur cette cohabitation paradoxale d´une Chine millénaire et très avant-gardiste, d´une Chine officielle et underground, que nous livre (..) Bettina Rheims. »

 

En 2005, Bettina Rheims expose à la galerie De Noirmont « Héroïnes », travail qui se veut avant tout comme un hommage à la sculpture. La photographe collabore pour l’occasion avec le créateur Jean Colonna10 pour habiller les femmes de vêtements originaux. “Des robes anciennes de haute couture ont ainsi été remodelées sur chacune de ces icônes contemporaines. Ces dernières à la beauté décalée ont alors joué avec un rocher, devenu pour un instant leur piédestal. »

 

À la fin des années 2000, Bettina Rheims s’associe à nouveau avec Serge Bramly et expose « Rose, c’est Paris » en 2010 à la Bibliothèque nationale de France (BNF). Le récit photographique est une nouvelle fois construit sur une trame de fiction imaginée par Bettina Rheims et Serge Bramly sur la base d’éléments autobiographiques. Dans ce travail Paris tient “le rôle de la muse plus que du sujet, et [apparaît], par le biais de personnages portés par une histoire, sous une forme quasi allégorique. Une jeune femme que l’on connaît par son initiale, B., cherche Rose, sa soeur jumelle, qu’elle prétend disparue. Présenté comme un « grand sérial mystérieux », genre cher aux surréalistes, « Rose, c’est Paris » se divise en treize épisodes où l’on découvre entre autres décors un Paris insolite ou méconnu, volontairement atemporel. »

 

Les années 2010

« Exposée en 2012 à Düsseldorf, la série « Gender Studies » poursuit le questionnement sur les représentations du genre. Le dispositif liant image et son (par Frédéric Sanchez) présente 27 portraits sonores de jeunes hommes et femmes ayant répondu à une appel lancé par la photographe sur Facebook. Les clichés s’accompagnent d’extraits d’interview et font l’objet de plusieurs expositions et d’un livre…. »

 

Pour lire l’article complet et prendre connaissance des nombreuses notes, références et renvois, cliquez sur :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bettina_Rheims

 

Signé : un inconditionnel…

 

 

Bettina RHEIMS Photographe / Paris 1987

 

 

 

 

 



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