Autres journaux



mercredi 28 janvier 2015 à 07:03

C’est arrivé un 28 janvier… (Voir la vidéo)

1873 : la naissance de l'immsense Colette !



C’est encore et toujours Wikipédia (l’encyclopédie libre) qui nous a sinspiré ce choix de parler de la naissance de :

 

COLETTE 27 01 15

 

 

Photo : http://dantebea.com/tag/colette/

 

« Sidonie-Gabrielle Colette, dite Colette, née le 28 janvier 1873 à Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne) et morte le 3 août 1954 à Paris, est une femme de lettres française, connue surtout comme romancière, mais qui fut aussi mime, actrice et journaliste.

 

Après Judith Gautier en 1910, Colette est la deuxième femme élue membre de l’Académie Goncourt en 1945. Elle en est en outre la première femme présidente, entre 1949 et 1954.« 

 

C’est ainsi que commence le très long article consacré à cette Bourguignone d’exception, la célébre encyclopédie mais passons à sa :

 

 

 

colette 2801152

 

Biographie

 

« Gabrielle est la dernière des quatre enfants (deux filles et deux garçons) de Sidonie Landoy, dite « Sido », et du capitaine Jules-Joseph Colette, saint-cyrien, zouave qui a perdu une jambe lors de la bataille de Melegnano et devenu percepteur. Elle passe une enfance heureuse à Saint-Sauveur-en-Puisaye, un gros village de Bourgogne. Adorée par sa mère comme un « joyau tout en or » au sein d’une nature fraternelle, elle reçoit une éducation laïque. Sido, féministe et athée convaincue qui ne craint pas de troubler le curé de Saint-Sauveur avec son chien ou de lire Corneille caché dans un missel, lui apprend l’art de l’observation, notamment dans le jardin donnant sur la cour de la maison.

 

La jeune Gabrielle lit très tôt les grands classiques et prend des leçons de français et de style auprès de son père, grand lecteur de journaux. Sido ayant des goûts de luxe que son mari ne sait lui refuser, la famille ruinée doit quitter Saint-Sauveur et s’installe en novembre 1891 à Châtillon-sur-Loing. Adolescente, Gabrielle rencontre Henry Gauthier-Villars, séducteur compulsif surnommé « Willy », avec qui elle se marie le 15 mai 1893 à Châtillon-sur-Loing.« 

 

« Sautons » directement avec ce qui fut sa « particularité » pour l’époque, nous voulons parler de :

 

Colette et la bisexualité

 

« La bisexualité tient un rôle primordial dans la vie de Colette, autant dans son existence personnelle que dans son œuvre artistique.

 

Si son mari Henry Gauthier-Villars exige d’elle une fidélité hétérosexuelle (que lui-même ne respecte pas), il n’a aucune objection à ce que Colette expérimente une vie extra-maritale avec des femmes. En 1906, Colette quitte son mari et s’engage plus ou moins publiquement dans une relation amoureuse avec la marquise de Belbeuf. Un soir, Colette et la Marquise choquent l’audience durant une représentation au Moulin Rouge aux tonalités ouvertement homoérotiques : une scène de baiser entre les deux femmes cause un énorme scandale, cette affaire déclenchant jusqu’à l’intervention du préfet de police de Paris1. Après cet épisode lesbien, Colette se marie avec Henry de Jouvenel en 1912, dont elle était tombée éperdument amoureuse lors de sa première rencontre quelques mois auparavant. De ce mariage est issue une fille. Après une liaison avec le jeune fils du premier mariage de son mari, Bertrand de Jouvenel, âgé de 17 ans, Colette s’est finalement mariée une troisième et dernière fois, à Maurice Goudeket en 1935.

 

Du côté de sa production littéraire, la bisexualité est également un élément récurrent de son œuvre, à commencer par sa série de romans Claudine, ses tous premiers romans, qui dépeignent, outre la protagoniste, de nombreuses femmes bisexuelles. Ainsi, une partie des thèmes abordés dans sa littérature est autobiographique. Colette est également l’auteur d’un ouvrage de réflexion sur l’Amour et la sexualité, Le Pur et l’Impur, qui puise dans des exemples d’expériences hétérosexuelles comme homosexuelles.

 

Pour toutes ces raisons, Colette a été étiquetée « Reine de la bisexualité » par Julia Kristeva. »

 

Pour lire l’article complet et surtout son oeuvre et surtout cae qu’elle a inspiré, cliquez sur :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Colette

 

Signé : un amoureux posthume de la DAME !

 

Et « cerise sur le gâteau » :

 

 

Colette 1951 Documentary COMPLETE FILM

 

 

 

 

 

 

 

 



Laisser un commentaire

Vous devez être connecté pour publier un commentaire.


» Se connecter / S'enregistrer