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samedi 31 janvier 2015 à 04:35

C’est arrivé un 31 janvier… (Voir la vidéo)

1920 : la naissance de Benoîte Groult !



Habitude quand tu nous tiens ! C’est encore Wikipédia (l’encyclopédie libre) qui nous rappelle que :

 

 

BENOITE GROULT 30 01 15

 

 

Photo : 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEte_Groult#mediaviewer/File:Benoite_Groult_-_Com%C3%A9die_du_Livre_2010_-_P1390492.jpg

 

 

« Benoîte Groult (née le 31 janvier 1920 à Paris) est une journaliste, écrivaine et militante féministe française.« 

 

C’est ainsi que commence l’article mais passons tout de suite à sa :

 

Biographie

 

 

« Elle est la fille du styliste de meubles André Groult (1884-1966), renommé dans les années trente, et de Nicole Poiret (1887-1967), dessinatrice de mode, sœur du créateur Paul Poiret et grande amie de Marie Laurencin. Elle est la sœur aînée de Flora Groult, également écrivaine. Benoîte Groult obtient une licence en Lettres et enseigne au début de la carrière au Cours Bossuet. En 1943, elle épouse Blaise Landon qui meurt en mai 1944.

 

 

En 1945, elle épouse un étudiant en médecine, Pierre Heuyer, qui meurt quelques mois plus tard. Elle entre au Journal de la Radiodiffusion à la Libération et y reste jusqu’en 1953. En 1951, elle épouse Georges de Caunes avec lequel elle a deux filles, Blandine et Lison, puis le romancier et journaliste Paul Guimard avec lequel elle a une fille, Constance. Elle a collaboré à diverses publications : ELLE, Parents, Marie Claire, etc.

 

 

Dès l’adolescence, elle cultive le goût de l’écriture mais c’est à un âge mûr qu’elle se lance sur la scène littéraire, d’abord avec sa sœur Flora : Journal à quatre mains (1958), Le Féminin pluriel (1965), Il était deux fois (1967). Elle est par la suite l’auteur de plusieurs best-sellers : La Part des choses (1972), Ainsi soit-elle (1975), Les Trois-Quarts du temps (1983), Les Vaisseaux du cœur (1988), La Touche étoile (2006), Mon évasion (2008).

 

 

Sa vie et son œuvre font d’elle un témoin privilégié des bouleversements sociaux dans les rapports entre hommes et femmes qui ont marqué le xxe siècle. Son féminisme, déclaré tardivement lui aussi, est une clé de lecture essentielle de son parcours, un identifiant de sa personnalité. Avec la publication d’Ainsi soit-elle (1975), elle est la première à dénoncer publiquement les mutilations féminine1. Cet essai féministe reste encore d’actualité.

 

 

En 1978, elle fonde un mensuel féministe avec Claude Servan-Schreiber F Magazine dont elle rédige les éditoriaux. De 1984 à 1986, elle assure la présidence de la Commission de terminologie pour la féminisation des noms de métiers, de grades et de fonctions, fondée par Yvette Roudy, alors ministre des droits de la femme, où travaillent grammairiens, linguistes et écrivains (arrêté de féminisation publié au Journal officiel en mars 1986). Depuis 1982, elle est membre du jury Femina.

 

Elle publie en 1986, pour la première fois, l’intégralité de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne de 1791, rédigée par Olympe de Gouges.

 

 

Elle est membre du comité d’honneur de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD).

 

 

En 2011, Benoîte Groult fait don de ses archives à l’université d’Angers,au Centre des Archives du Féminisme (BU Angers)…« 

 

Pour lire l’article complet :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEte_Groult

 

Signé : un féministe convaincu !

 

 

 

 

 

Benoite GROULT : « Je suis née avec zéro droit » 

 

 

 

 

 

 



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