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vendredi 27 février 2015 à 05:39

C’est arrivé un 27 février… (Voir la Vidéo)

2013 : la disparition de Stéphane Hessel !



Déjà : nos excuses pour hier, 26 au lieu de 27 ! La précipitation est toujours mauvaise « consillère » mais, cette fois, promis : on est bien le 27 !

 

 

HESSEL 26 02 15

 

 

Photo : Wikipédia !

 

 

 

C’est encore et toujours Wikipédia (l’encyclopédie libre) qui nous a remis en mémoire que :

 

« Stéphane Frédéric Hessel (né le 20 octobre 1917 à Berlin, mort le 27 février 2013 à Paris) est un diplomate, ambassadeur, résistant, écrivain et militant politique français.

 

 

Né allemand, Stéphane Hessel arrive en France à l’âge de 8 ans. Naturalisé français en 1937, normalien, il rejoint les Forces françaises libres, en 1941, à Londres. Résistant, il est arrêté et déporté à Buchenwald, qu’il parvient à quitter vivant grâce à une substitution d’identité avec un prisonnier mort du typhus, puis s’évade lors de son transfert du camp de Dora à celui de Bergen-Belsen.

 

 

Il entre au Quai d’Orsay en 1945, et fait une partie de sa carrière diplomatique auprès des Nations Unies. Homme de gauche et européen convaincu, il est ami de Pierre Mendès France et de Michel Rocard.

 

 

Stéphane Hessel est connu du grand public pour ses prises de position concernant les droits de l’homme, la question des « sans-papiers » et le conflit israélo-palestinien, ainsi que pour son manifeste Indignez-vous ! paru en 2010, au succès international….« 

 

C’est ainsi que commence sa biographie mia,s pour notre part, nous allons arriver directement aux 

 

Années Mitterrand

 

« À son arrivée au pouvoir, en 1981, François Mitterrand, que Stéphane Hessel a connu ministre de l’Intérieur dans le cabinet Mendès, l’élève à la dignité d’ambassadeur de France. Il est appelé à Paris par Claude Cheysson pour travailler sur la réforme de la politique française au développement et est nommé délégué interministériel pour la coopération et l’aide au développement. Quand la question du rattachement de Mayotte à la République des Comores est soulevée en 1982, il est envoyé sur place pour une mission d’observation. Son rapport, favorable au désengagement de la France, n’est pas suivi.

 

La démission de Jean-Pierre Cot de son poste de ministre délégué à la coopération signe le départ de Stéphane Hessel. Le président de l’Assemblée nationale, Louis Mermaz, le choisit le 22 août 1982 pour être un des neuf membres de Haute Autorité de la communication audiovisuelle chargée, sous la présidence de Michèle Cotta de préserver la liberté de l’information dans le complexe dossier de l’attribution des fréquences aux toutes nouvelles radios locales privées. Ce mandat expire le 10 août 1985.

 

 

Sa femme Vitia meurt en 1986 et il épouse, en 1987, Christiane Chabry, pour qui il éprouve depuis trente ans une profonde affection tout en revendiquant un amour indéfectible pour sa première femme.

 

 

En 1988, Lionel Stoléru exhibe le rapport d’un groupe de travail sur l’immigration que Stéphane Hessel avait présidé quelques années auparavant et dont il choisit le titre : « Immigrations : le devoir d’insertion ». En 1990, appelé par le premier ministre Michel Rocard, il siège au Haut Conseil à l’intégration, nouvellement créé, poste qu’il occupe jusqu’en 1993. Dans un rapport commandé par celui-ci, intitulé « Les Relations de la France avec les pays en développement » et remis en 1990, Stéphane Hessel écrit que la politique française devrait être « revue dans le sens d’une plus grande rigueur et du rejet de toute complaisance clientéliste ». Il critique la conception des rapports avec les chefs d’État africains, le gaspillage des crédits et des aides depuis les indépendances. Ce rapport, peu apprécié à l’Élysée, est retiré de la circulation et enterré, comme la plupart des études visant à une transformation de la politique française de coopération en Afrique.

 

 

En 1993, il est choisi pour représenter la France à la Conférence mondiale des Nations unies sur les droits de l’homme, qui se tient à Vienne. »

 

 

Combats pour les droits de l’homme

 

« À la retraite, Stéphane Hessel reste un ardent défenseur des droits de l’homme et milite pour la paix et la dignité.

 

 

Stéphane Hessel a été membre de la Commission française consultative des droits de l’homme59, que René Cassin avait fondée, ainsi que du Haut Conseil de la coopération internationale….« 

 

Pour lire l’article comple, cliquez sur le lien ci-dessous :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Hessel

 

Signé : un admirateur sans borne(s) pour ce grand Monsieur !

 

 

 

 

 

Décès de Stéphane Hessel : portrait

 

 

 

 

 

 



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