Echanges à « La Belle Epoque » : le rendez-vous du polar, thriller et fantastique (Culture)
Voici l’interview de Mehdy Brunet
Patricia nous a transmis des interviews de tous les auteurs ayant accepté de participer à cette “première”. Première qui, espérons-le, sera suivie de nombreuses autres. Voici donc l’interview de Mehdy Brunet réalisé par Zouz Zaza de la couverture noire
https://www.facebook.com/events/227882724261135/
Bonjour, en préparation de cette rencontre littéraire, pouvez-vous vous présenter ?
Eastwood, Clint Eastwood
Et vous faites ça depuis longtemps ?
Depuis tout petit, en fait. J’avais commencé par faire Zorro, mais purée le coup du Z à la pointe de l’épée c’était trop balèze, un jour, de colère, j’ai coupé l’élastique de mon masque. Le soir de cet événement, le premier volet de la trilogie du dollar passait à la télé, et là, la révélation !
Quand ch’rais grand, ch’rais Blondin.
Vous présenterez quoi à la rencontre du Creusot ?
Au début je voulais venir pour vous montrer mes 53 DVD de Clint, mais j’ai bien réfléchi et je vais plutôt vous présenter « Sans raison », mon premier roman (et j’ai pris tellement de plaisir à l’écrire que j’espère qu’il y en aura d’autres !).
Il vous raconte l’histoire d’un homme prêt à tout pour retrouver les ravisseurs de sa femme et de sa fille.
Quel est votre mode d’édition ?
J’ai l’incroyable chance d’être sous contrat avec la maison d’édition Taurnada. Elle est gérée par des personnes extrêmement sympathiques avec qui c’est toujours un grand plaisir d’échanger (une chose bizarre toute fois : l’incommensurable penchant pour les pizzas de la part de l’un d’eux !).
Pour vous qu’est-ce que représente une “rencontre littéraire” et comment êtes-vous arrivé dans cette aventure en Saône et Loire ?
Cela représente pour moi la possibilité d’échanger avec d’autres sur les livres et les auteurs que nous affectionnons, ce qui je trouve est trop rare dans la vie de tous les jours.
C’est aussi l’occasion de pouvoir laisser parler une partie cachée de ma personnalité lorsque l’on m’interroge sur mon roman, ou ma façon d’écrire.
Comment ça « comment je suis arrivé » ? Ben on m’a dit « Viens, t’auras du chocolat ! »