C’est dans le quartier de Salengro qu’a été faite cette très macabre découverte !

 

Une découverte qui a amené le procureur de la République de Chalon à se déplacer !

 

 

 

 

 

Au moment où nous écrivons ces lignes, le procureur reste plus que très discret sur cette affaire.

 

De fait, il pourrait bien s’agir d’un homicide. Ce « mutisme » s’explique aussi par le fait que le corps n’a pas été identifié, toujours au moment où nous écrivons cet article. 

 

Sont présents sur place, outre le « patron » du parquet de Chalon, le commandant Fabrice Berthelon, des fonctionnaires de la police scientifique de Montceau, madame Marie-Claude Jarrot, maire, M. Tramoy, maire-adjoint aux sports et à la vie associative, William Dumont, directeur des services de la ville etc.

 

Plus de détails dès que nous serons  en mesure de la faire…

 

L’émotion est palpable aux abords de la tour A à Salengro. Les voisins sont sous le choc, et tous s’accordent à dire que les locataires du 8e étage (où le corps a été retrouvé) étaient d’une discrétion absolue.

 

Une voisine raconte que le couple a l’habitude de passer trois mois en Algérie et que cela semble être le cas en ces périodes de vacances. Mais alors, qui est cet homme qui a perdu la vie dans cet appartement ?

 

A l’heure où nous écrivons, le médecin légiste n’a pu identifier le corps. La seule certitude est qu’il s’agit d’un homme. Pour le reste, il faudra attendre la suite des opérations…

 

Des voisins très en colère contre le bailleur social

 

Très spontanément, Patricia Rameau (qui loge au 10e étage) fait part de sa colère contre le bailleur social. L’OPAC en l’occurrence. « Depuis deux jours, je leur signale qu’il se dégage une odeur atroce dans les escaliers, au niveau du 8e étage. J’ai même précisé que cela sentait la mort, le cadavre. Et tout ce qu’on m’a répondu, c’est d’appeler les pompiers ! ».

 

Des pompiers qui ont conseillé à cette dame d’appeler la police. « C’est ce que j’ai fait. Les policiers sont arrivés très vite et depuis, c’est le branle-bas de combat ! C’est très grave cette attitude de l’OPAC ! » conclut-elle avec véhémence.

 

La victime a été prise en charge par les pompes funèbres. Et l’OPAC était attendu dans la soirée pour neutraliser les odeurs, dans chaque appartement de cette tour.

 

 

ND et Annabelle Berthier

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Patricia Rameau témoigne