Début des festivités avec Jane Birkin

 

C’est donc la plus « française » des chanteuses britanniques qui a ouvert le festival avec « Arabesque ».
Ce spectacle, démarré en 1999 à Avignon, est issu de la rencontre entre la chanteuse et le violoniste algérien Djamel Benyelles, leader du groupe « Djam and Fam ».

 

 

Entourée également d’un percussionniste, d’un pianiste et d’un joueur de luth, l’ex-fan des sixties nous transporte jusqu’en Orient. Après plus de 360 représentations dans 40 pays différents, la chanteuse et ses musiciens ont donc fait escale à l’Embarcadère.

 

 

 

De « Elisa », en version piano-voix, à « Comment te dire adieu », en passant par « La chanson de Prévert » ou encore « Couleur café », « Dépression au dessus d’un jardin » et « Amours des feintes », Jane Birkin offre un magnifique voyage entre simplicité, douceur, émotion et sensibilité et en particulier lorsqu’elle rend hommage à son neveu Anno, en lisant un des poème ; poète et membre d’un groupe de rock anglais, il décéde accidentellement pendant l’enregistrement de l’album en 2001.

 

 

 

Le nombreux public à apprécier cette façon de découvrir ou de redécouvrir les textes et les mélodies de Serge Gainsbourg et c’est donc par de chaleureux et de nombreux applaudissements qu’il l’a manifesté.
Le concert s’est conclu, après rappel, sur une « Javanaise » à capella avec le public.

 

 

 

 

« Philippe Lerichomme m’a offert un trésor avec ce groupe de musiciens. Et comme un trésor est composé de joyaux, je suis donc entourée de joyaux. Merci à eux pour ce magnifique trésor.»

 

Le TSB a démarré de fort belle manière, et ce n’est que le début !

 

Nicolas SIMON