C’est arrivé un 8 février…. (Voir la bande annonce)
1921 : la naissance de la sublime Lana Turner !
Décidément vous allez penser que faisons une « fixette » mais c’est encore grâce à Wikipédia (l’encyclopédie libre) que nous nous sommes souvenu que c »‘est ce jour là qu’et née :
Photo : http://usbuzzblog5.blogspot.ru/2011/11/lana-turner-photo-gallery-lana-turner.html
« Lana Turner est une actrice américaine de cinéma, née le 8 février 1921 à Wallace dans l’Idaho et décédée le 29 juin 1995 dans le quartier de Century City à Los Angeles en Californie.
Lana Turner fait partie de la mythologie hollywoodienne. Incarnation du glamour hollywoodien, elle fut pendant près de 20 ans une des stars de la Metro-Goldwyn-Mayer. Elle détient un record pour s’être mariée sept fois….«
C’est ainsi que commence le très long article consacré à cette « star » (au sens littéral du terme) mais passons directement à ce qui nous intéresse (toujours au sens littéral du terme) le plus, c’est à dire :
La bombe fatale
« Lana Turner est liée par un contrat spécial à Mervyn LeRoy et en 1938, quand le réalisateur quitte la firme Warner Bros pour la firme Metro-Goldwyn-Mayer, il emmène avec lui sa jeune protégée. Elle commence alors sa longue et prestigieuse carrière dans cette firme. Elle suit des cours de diction, d’art dramatique et de danse à la Little Red School House, l’école de la MGM, en même temps que deux élèves célèbres : Judy Garland et Mickey Rooney. Elle tourne, son premier film MGM, avec ces « deux enfants stars » dans la populaire série des « Andy Hardy », L’Amour frappe André Hardy (1938). Mais très vite, Louis B. Mayer comprend que sa nouvelle recrue a tout pour remplacer la star Jean Harlow, qu’il vient de perdre tragiquement, et devenir le nouveau sex symbol de la compagnie.
Après avoir participé à plusieurs films de série B, elle éclate dans La Danseuse des Folies Ziegfeld de Robert Z. Leonard qui fut l’un des plus grands succès de 1941. Superproduction, ce film marque un véritable tournant dans la carrière de Lana et elle y éclipse ses partenaires : Judy Garland, Hedy Lamarr et James Stewart. Son salaire monte à 1 500 USD par semaine et la MGM lui offre désormais des rôles plus étoffés.
Elle tourne avec les stars les plus prestigieuses du studio, comme Spencer Tracy dans Dr. Jekyll and M.. Hyde (où elle devait interpréter le rôle de la prostituée, avant qu’Ingrid Bergman ne le réclame), Robert Taylor dans Johnny, roi des gangsters de Mervyn LeRoy, Walter Pidgeon dans Week-end au Waldorf et surtout Clark Gable où l’alchimie du couple est explosive, ils se retrouveront dans plusieurs films dont Franc jeu, Je te retrouverai ou Le Retour qui apparaitront au box-office. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Lana sera une des pin-up les plus populaires des G.I. et elle participera activement aux divertissements destinés au moral des troupes. En 1942 elle fait la connaissance du comédien/restaurateur Joseph Stephen Crane. Il deviendra son second mari avec lequel, le 25 juillet 1943, Lana donne naissance à sa fille unique, Cheryl.
C’est en 1946, avec le sulfureux Le facteur sonne toujours deux fois, qu’elle marquera à jamais la mémoire des cinéphiles. MGM, pourtant peu habituée aux films noirs, lui donne un rôle de femme fatale. On se souviendra longtemps de la première apparition de Lana, toute de blanc vêtue. « Lana Turner, presque toujours habillée de blanc, le parfait de sa plastique, de ses mouvements de hanches. On cherchait, d’instinct, à deviner sous cette blancheur la rondeur d’un sein ou la ligne des fesses2. » Elle nous donne une magnifique interprétation.
Lana Turner est l’une des actrices les plus rentables de la MGM, comme le prouvent ses succès suivants, le spectaculaire film Le Pays du dauphin vert, Le Retour où elle retrouve Mervyn LeRoy et Clark Gable, deux films de George Sidney, Éternel Tourment avec Spencer Tracy, et Les Trois Mousquetaires où elle incarne la vénéneuse Milady de Winter aux côtés de Gene Kelly.
En 1953, elle trouve l’un de ses meilleurs rôles dans Les Ensorcelés, satire du milieu hollywoodien, sous la direction de Vincente Minnelli. Son rôle de Georgia Lorrison est inspiré plus ou moins de la vie de Diana Barrymore3, fille de l’acteur John Barrymore. Le film fut nommé six fois aux oscars et reçut cinq trophées.
Elle joue surtout par la suite des personnages romanesques comme Crystal Radek dans la troisième version de La Veuve joyeuse, une grande prêtresse biblique dans Le Fils prodigue, une lady amoureuse du fils d’un Maharadjah dans La Mousson jusqu’à la maîtresse du roi Henri II Diane de Poitiers qui sera son dernier film chez MGM après dix-huit ans de règne.
« Lorsque j’ai eu fini Diane, avoua Lana Turner, je me revois encore quitter le studio sans un regard en arrière. Il était étrange de voir ces rues désormais vides. Elles avaient été ma seconde demeure, peut-être ma maison la plus stable durant dix-sept ans. Je me souviens combien j’étais excitée lorsque j’ai vu ces visages fameux à l’époque de l’âge d’or de la MGM et le bonheur de faire bientôt partie d’eux. Maintenant la gloire était passée. »
Elle est l’exemple même de la femme fatale et inspire les générations ultérieures. C’est d’ailleurs d’elle que vient le pseudonyme de la chanteuse américaine Lana Del Rey, la suite faisant référence à une voiture des années 1950. »
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Lana_Turner
Signé : un amoureux de la femme en général !


