Dimanche après-midi, l’Embarcadère a accueilli le conservatoire de danse pour la deuxième édition de son gala annuel.

 

 

Une salle comble pour admirer et apprécier le travail effectué tout au long de l’année par les 150 danseuses sous la houlette de leur professeure Carole Cantat.

 

 

En préambule, Pascale Martinez a excusé les élus pour cause de permanence électorale et a parlé en leur nom pour mettre l’accent sur le travail et l’implication de Carole Cantat, enseignante du conservatoire de danse depuis deux ans. Elle conclut en citant Maurice Béjart : « La parole divise, la danse unit ! »

 

 

 

Cette année, les danseuses ont présenté un spectacle en deux parties intitulé « Et si Paris Dansait… »

 

 

En premièr lieu, les groupes des plus jeunes ont décliné quinze chorégraphies originales qui ont conduit les spectateurs au Jardin des Plantes, à la Défense, à l’Opéra Garnier et dans bien d’autres lieux connus et typiques de la capitale.

 

 

Après l’entracte, les groupes ados et adultes ont poursuivi le parcours parisien pour 10 autres tableaux.

 

 

L’ambiance est sereine, agréable, familiale. Les spectateurs applaudissent et ne sont pas avares de commentaires : « C’est vraiment bien, c’est fluide, même chez les petits, on voit tout le travail que cela demande ! C’est vraiment d’un bon niveau ! »

 

 

Ces chorégraphies permettent aux spectateurs d’embarquer pour un voyage au cœur de la danse pour vivre l’expression de celle-ci, sous toutes ses formes, sur des rythmes différents et variés, de percevoir les mises en espace et le tout sur des musiques qui élèvent les corps, les muent en pensées physiques pour porter au plus haut la Danse.

 

 

Danser, c’est comme parler en silence. C’est dire plein de choses sans dire un mot. (Yuri Buenaventura)

 

 

La saison se termine au conservatoire. Pour la future saison, il sera temps de s’inscrire en septembre aux Ateliers du Jour, pour tous ceux qui auraient contracté ce merveilleux virus de la Danse !

 

 

 

Jean-Luc Pradines