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vendredi 18 mars 2022 à 05:06

Montceau-les-Mines : le Printemps des poètes

Un sourire éphémère dans la ville et le jardin éphémère en voix et en mouvements





Ce mercredi après-midi, la Cie A l’envers de soi était encore en pleine activité dans le cadre du Printemps des poètes.

Dans un premier temps, 8 participants de l’accueil de jour de Blanzy (l’APH) accompagnés de Florence Gérard (éducatrice) et des membres de la Cie, ont déambulé dans le centre ville pour offrir aux passants des haïkus d’Alain Michaud et des poèmes sous forme de contravention poétique, avec en prime, un coquelicot, symbole de paix, en promenant une banderole sur laquelle on pouvait lire :
« Il y a dans ce sourire si éphémère,
si court dans le temps
une telle fragilité ! »
Un Haïku est un poème d’origine japonaise, court, permettant de célébrer les émotions, le moment qui passe, émerveille ou étonne.

Puis certains de ces poèmes et de ces haïkus finirent collés sur les pavés, à proximité du jardin de l’éphémère, place de l’église, pour se confronter à l’usure du temps et disparaître quand les éléments auront fait leur labeur…

À 17h 00, 7 lectrices et 6 danseuses ont pris possession de l’espace du Jardin éphémère pour une performance en voix et en mouvements.
Des lectures alternée avec des parties dansées qui se sont terminées par un hommage au peuple ukrainien.

La vie est éphémère,
Il faut enterrer l’âge de guerre,
Rien ne sert à se déplaire,
Quand on peut toujours mieux faire. (Soraya Bentir)

J.L Pradines

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



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