Saint-Vallier : 115 licenciements à Konecranes… suite…
Réaction du Maire, Alain Philibert
Suite à l’annonce ce mercredi matin en séance du CSE, des 115 licenciements et à terme l’arrêt de la production à l’usine Konecranes, le Maire de Saint-Vallier, Alain Philibert nous livre son sentiment :
« Cette annonce est une catastrophe, c’est très grave et dramatique pour tout le monde, pour les salariés et leur famille et tous les habitants du bassin minier.
Ce ne sera pas sans conséquence pour toutes les communes et cela aura des incidences dans tous les domaines. On est tous concerné. Il faudra que la population se mobilise derrière les salariés de Konecranes et également d’Eolane.
Alain Philibert apporte son soutien aux salariés.
Il rencontrera vendredi matin conjointement les représentants des organisations syndicales de Konecranes et d’Eolane accompagnés de l’avocat Ralph Blindauer.
Il ajoute : « Je vais en parler au sous-préfet que je dois rencontrer ce soir… »
à suivre…
JL Pradines
5 commentaires sur “Saint-Vallier : 115 licenciements à Konecranes… suite…”
C’est bien triste pour le personnel!!!! Mais, pourquoi n’y a-t’il pas eu une même mobilisation des maires pour préserver la chirurgie à l’hôpital? On croit savoir pourquoi!!!! on était loin de cette époque…..Devinez le pourquoi de la chose….
pourtant l’industrie recruterait , voir les annonces et réunions .
et le chômage baisserait . Combien de radiations sur 2019 , de chômeurs passé en case retraite sur 2019 , ou sorti en formation temporaire , etc….
PPM 700 grues Poclain par an dans les années 80 avec plus de 600 salariés . Ensuite TEREX, puis Konecranes avec 150 salariés , et maintenant projet de 40 salariés et production ramenée dans leur pays, plus ici ! ….Non , salariés mobilisez vous !
… à espérer que Mr Philibert n’en fasse pas un sujet de campagne … ce serait monstrueux ! quand certaines entreprises de sa commune ont licencié ‘ hors périodes électorales » il n’ a pas bougé le petit doigt !!!!
Vue le nombre de commentaires , je pense que tout le monde s’en branle et que ce qui arrive c’est d’une telle banalité que ça en devient un non événement. Il faut maintenant que les organisations syndicales négocient l’accord qui va bien et que les gens en profitent pour se former et aillent voir ailleurs si l’herbe est plus verte.Ca sert à rien de maintenir cette boite sous perfusion, ça ne fait que retarder l’échéance.