Parents d’élèves de l’enseignement public du Lycée Parriat (Montceau-les-Mines)
Objectif : enrayer la baisse de l’effectif !
La réunion de l’association des parents d’élèves de l’enseignement public (PEEP) a eu lieu la semaine dernière au Lycée Henry Parriat.
Le Président Pascal HENRY a accueilli les personnes présentes, ainsi que Mr AUBERT, Proviseur du Lycée et Mr VEIES président départemental PEEP.
Après un bilan sur la rentrée 2014-2015 au lycée Henry Parriat, fait par M. le proviseur, M. HENRY laissa la parole au représentant départemental qui éclaira les présents sur les différentes activités du mouvement, et sur la qualité de nos relations avec les différentes instances que ce soit nationale, régionale ou locale, mais reconnait également le peu de motivation des parents d’élèves qui explique une baisse des effectifs à tous les niveaux.
L’association PEEP du lycée Henri Parriat confirme cette baisse de l’effectif (peu de monde à la réunion) néanmoins l’Association reste présente et poursuit ses activités (présence au conseil de classe, dans diverses commissions représentation les parents, relation avec la direction et les enseignants du lycée…) tout cela en respectant notre indépendance politique, syndicale, religieuse.
La réunion se poursuivit par la préparation des élections qui aura lieu prochainement… L’équipe de Pascal HENRY compte sur les parents pour les soutenir à ce moment là, pour les représentés comme il se doit.
La PEEP du lycée Henry Parriat reste à votre disposition pour tout renseignement au 06.87.82.39.83, par mail : pascal.henry37@orange.fr ou PEEP, 49 rue de Gourdon – 71300 Montceau-les-Mines.
Un commentaire sur “Parents d’élèves de l’enseignement public du Lycée Parriat (Montceau-les-Mines)”
Il faudrait que la PEEP apprenne à orthographier correctement le nom du lycée… HenrI Parriat et non HenrY Parriat.
Je dis ça je dis rien…
Note de la rédaction comme tout le monde, il arrive que, dans la précipitation, les gens, même les plus cultivés fassent des fautes. Nous nous sommes permis de corriger cette faute qui, avouez le, n’est pas primordiale. Ce qui l’est, en revanche, c’est bel et bien la désaffection des parents…