En ce jour de pré-rentrée pour les enseignants du premier degré, l’inspectrice académique des services départementaux de l’Education nationale (IA-DASEN) de Saône-et-Loire, Catherine Pierre, est venue à la rencontre de l’équipe pédagogique de l’école Lucie Aubrac de Blanzy.

Le directeur Mickaël Ceyrat,  a accueilli la DASEN, ainsi que Guillaume Boulade, IEN de la circonscription de Montceau, Sandrine Goetschy (Conseillère pédagogique Montceau), Lionel Duparay, conseiller départemental et le Maire Hervé Mazurek.

 

 

Dans un premier temps, le groupe a effectué la visite de l’établissement tout en échangeant avec les enseignants au fil des classes. L’école compte 13 classes et accueille 182 élèves en primaire et 73 en maternelle. 12 AESH interviennent auprès des élèves ayant besoin d’un accompagnement.

 

La DASEN a donné quelques chiffres : la rentrée 2025 concernera 39 728 élèves sur le département accueillis dans 504 écoles, encadrés par 2875 professeurs des écoles et 1154 accompagnants AESH.

 

Catherine Pierre précise qu’elle est venue sur cette école car l’Ecole Lucie Aubrac

est la plus grande école de la circonscription de Montceau. L’équipe pédagogique travaille dans une réelle dynamique de projets, un travail collectif de la maternelle au CM2.

D’autre part, l’école fait partie de la sélection des établissements qui seront « pilote » pour l’action « Accompagnement au coeur de la classe », une priorité de la rectrice de Dijon Mathilde Gollety, qui sera d’ailleurs en visite au lycée Haigneré le 4 septembre.

 

Dans un second temps, tout le monde s’est réuni dans le gymnase, nouvellement rénové, pour un moment d’échanges et d’informations. La DASEN a expliqué selon quels critères Lucie Aubrac avait été choisie pour être dans la cohorte des 6 classes de la circonscription, concernées par « l’accompagnement au coeur de la classe », soit 60 à l’échelle de l’académie, 23 en Saône et Loire.

L’objectif de ce dispositif est de faire progresser les élèves en difficulté et d’assurer un climat scolaire sécurisé.

« L’esprit de cet accompagnement permettra d’ana lyser les difficultés des élèves pour co-construire des outils à partir de l’existant : une démarche qui se construit collectivement. À partir d’un diagnostic, un sujet d’échanges, pour quelles actions à mettre en œuvre pour faire évoluer les pratiques ».

 

J.L Pradines