Faits divers : cette nuit de samedi à dimanche aux Gautherets…
... incendie volontaire, menaces avec arme, caillassage etc.
C’est par un mail que nous avons été prévenus avant de réussir à joindre plusieurs habitants du quartier par téléphone !
D’après tous les témoignages que nous avons pu recueillir ce sont une dizaine de jeunes du quartier ou récemment parti d’ici qui sont à l’origine de ces actes qui dépassent largement les simples incivilités, aujourd’hui !
L’un d’eux nous a dit : « cela fait plusieurs jours que ces jeunes (de 17 à 28 ans, pour le plus âgé) viennent écouter de la musique à fond en journée et même la nuit. Hier : rebelote avec la musique jusqu’à 22 h 30 où là un nouveau « cap a été franchi » et où ces jeunes, sans doute très alcoolisés voire même sous l’emprise de stupéfiants ont mis le feu à des feuilles d’arbres devant des portes de garage. Qui plus est en y ajoutant une bombe de peinture qui a explosé… Nous avons, une fois de plus, appelé le commissariat et cinq minutes après ils étaient là mais les jeunes s’étaient déjà « évanouis dans la nature »… Les policiers nous ont demandé de rentrer chez nous… »
Mais, à peine les policiers étaient-ils repartis que le groupe revenait et, selon nos interlocuteurs (tous unanimes) les jeunes les ont insultés, caillassé des voitures , un de ces jeunes allant même jusqu’à exhiber une carabine en menaçant de s’en servir…
Des faits graves et surtout qui se répètent trop souvent ce qui fait dire à un des habitants du quartier : « les gens ont peur, moi-même je vais déménager et si je peux rencontrer les futurs et éventuels locataires de ces immeubles, je les dissuaderai de venir s’installer ici… »
A suivre, puisque dès demain lundi, une plainte sera déposée avec vidéo à l’appui
Annabelle Berthier
Photo d’un incendie volontaire allumé le 4 septembre dernier
Un commentaire sur “Faits divers : cette nuit de samedi à dimanche aux Gautherets…”
Et la municipalité, elle en pense quoi ? Que jeunesse se passe ?
Parce qu’on entend personne depuis le temps que cela dure.