Gilets jaunes du Magny…
.. deux d'entre-eux convoqués au tribunal !
…. et ce lundi 24 décembre !
Deux gilets jaunes qui sont en garde à vue depuis samedi soir et qui vont passer au tribunal de Chalon vers 14h.
Un appel a été lancé aux autres gilets jaunes qui veulent venir les soutenir à se retrouver à 13 h 30 sur le parking du Magny.
Affaire à suivre donc…
Annabelle Berthier
7 commentaires sur “Gilets jaunes du Magny…”
Il faut souhaiter que la Justice soit intraitable et de la plus grande sévérité avec ces s…pards antisémites ! Au trou ! Comme en 1945.
jyton ….. vous n’avez pas honte de tel propos ! que la justice fasse son travail je suis d’accord ! mais de traiter des citoyens de s…pards vous êtes d’une méchanceté à la hauteur de votre personnage ! et quand vous dites au trou …! cela me fait penser à la milice française de 1945 ! c’est tout à fait vous ! je plein votre entourage ! si vous en avez !
Vous ignorez l’histoire de votre propre pays.
En 1945, c’étaient justement les ex miliciens que l’on condamnait !
Pauvre Jyton !!!! et moi je dirais plutôt pauvre C.. !!!
Nino et l’art du débat contradictoire. Pfuit ah ces bac moins 10 !??
comprendra qui voudra comprendre !
Pays France
Allégeance Drapeau de l’État français État français
Effectif 10 000 à 35 000
Composée de Franc-garde
Surnom Milice
Marche Le Chant des cohortes
Guerres Seconde Guerre mondiale
Batailles Bataille des Glières
Bataille du Vercors
Bataille du Mont Gargan
Bataille du Mont Mouchet
Commandant historique Joseph Darnand
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La Milice française, souvent appelée simplement la Milice, était une organisation politique et paramilitaire française créée le 30 janvier 1943 par le régime de Vichy pour lutter contre la Résistance, qualifiée de terroriste. Supplétifs de la Gestapo et des autres forces allemandes, les miliciens participèrent aussi à la traque des Juifs, des réfractaires au STO et de tous les « déviants » dénoncés par le régime de Vichy et les collaborateurs fascistes parisiens. C’était aussi la police politique et une force de maintien de l’ordre.
Le chef officiel de la Milice était Pierre Laval, chef du gouvernement, mais le véritable responsable de ses opérations était son secrétaire général, Joseph Darnand, fondateur du Service d’ordre légionnaire (SOL), précurseur de la Milice française, et officier Waffen-SS.
Organisation de type fasciste, elle se voulait un mouvement révolutionnaire, à la fois antirépublicain, antisémite, anticommuniste, contre le capitalisme international, pour le corporatisme, nationaliste et autoritaire1. Elle sembla avoir ambitionné de devenir l’équivalent d’un parti unique de l’État français. Sa montée en puissance marqua en tout cas, selon Robert Paxton et Stanley Hoffmann, la fascisation finale du régime de Vichy.
Comme les nazis, les miliciens usaient couramment d’arrestations arbitraires, de délation, de torture, de rafles, d’exécutions sommaires et arbitraires, voire de massacres. Leur pratique systématique de la violence et leurs nombreuses exactions, tout comme leur collaborationnisme jusqu’au-boutiste, contribuèrent à les faire rester très minoritaires au sein d’une population qui les haïssait et les rejetait largement. La Milice n’eut jamais plus de 35 000 membres (29 000 adhérents en automne 1943 selon Francis Bout de l’An, sur lesquels, d’après le chef du service des effectifs, l’enseigne de vaisseau Carus, seulement 10 000 étaient actifs). Même après son développement en zone nord, la Milice ne dépassera jamais 15 000 militants réels au total.
Ben oui c’était avant 1945. Ils ont été jugé sous le Conseil National de la Résistance !