Une garde à vue qui a commencé ce matin et qui pourrait durer…

…et déjà le temps de bien cerner toutes les « données » du problème afin de savoir comment cette dame a pu « endormir » le conseil de l’ordre, d’habitude si prudent ?

Ce que l’on sait déjà c’est que, embauchée en mai dernier (elle a postulé en avril..), elle a « bénéficié » de la pagaille imputable au coronavirus et à l’épidémie. Les vérifications d’usage ayant été quelque peu, on va écrire « bâclées » par le conseil de l’ordre. L’affaire étant très complexes et le nombre de « victimes » (sans oublier, la nature des conséquences sur leur santé) devant être  déterminé avec précision… tout cela fait que la garde à vue pourrait être de 48 heures.

A l’heure où nous écrivons ces lignes, la prévenue est donc toujours entendue et une information judiciaire pourrait être ouverte avec nomination d’un juge d’instruction

Annabelle Berthier