C’est un de nos lecteurs qui nous a et vous averti par la même occasion de sa fâcheuse mésaventure qui s’est déroulée il y a bientôt 5 semaines. Les faits se sont déroulés rue de Harnes au Bois du Verne.

Alors que sa voiture était stationnée devant son garage, elle a subi en pleine nuit des dégradations importantes : les 4 pneus ont été crevés et des rayures ont été réalisées sur l’ensemble du véhicule.

Le propriétaire a donc dû porter plainte. Les travaux de réparation ont coûté près de 3000 € dont une partie à la charge du propriétaire fort heureusement assuré contre le vandalisme.

 

Des agents du commissariat de police se sont déplacés et ont pris la plainte du propriétaire de la voiture. Celui-ci s’est déclaré particulièrement choqué ne comprenant pas pourquoi sa voiture avait été touchée.

Cela était d’autant plus incompréhensible que les deux voitures de ses voisins étaient stationnées à proximité de la sienne chevauchant le trottoir.

 

L’affaire aurait pu s’arrêter là. Pourtant dans la nuit de samedi à dimanche, c’est cette fois-ci l’une des voitures d’un voisin qui a été dégradée suivant le même mode opératoire selon notre lecteur : 4 pneus crevés et rayures profondes sur la carrosserie. Les deux voisins ont été particulièrement touchés, ne se connaissant aucun ennemi.

Et cette fois-ci la seconde victime en a eu pour 2 000 € à ses frais puisque son assurance ne couvrait pas les actes de vandalisme.

 

Notre lecteur nous a fait part de son désarroi ainsi que du désarroi profond de son voisin particulièrement peiné.

Aujourd’hui ces deux personnes vivent dans une appréhension totale. Le premier rentre chaque soir son véhicule dans son garage. Le second vit avec la peur au ventre, lui qui pour sa part ne possède pas de garage où rentrer son véhicule.

 

« C’est très traumatisant. On vit dans la psychose. Ce sont vraiment des gestes lâches. » a déclaré notre lecteur. Avant de poursuivre : « Je ne mets pas en cause la police qui fait ce qu’elle peut. On se demande pourquoi nous. On ne se connaît pas d’ennemi. Ce sont des gestes inexplicables. La police est venue, mais n’a pas trouvé de traces. Les rayures sont-elles faites par un couteau ? En tout cas par quelque chose de très tranchant. »

 

Les deux propriétaires touchés ont tous les deux portés plainte auprès du commissariat de police de Montceau-les-Mines. Pour autant, « la police sans indice ne peut pas faire de miracle. » remarque notre lecteur.

 

Avant de conclure : « On va voir si ont peut installer une caméra. Ce qui nous interpelle c’est le laps de temps entre les deux événements. Aujourd’hui c’est la psychose. C’est terrible et onéreux. »

 

Par son témoignage, notre lecteur souhaite à la fois prévenir les habitants du quartier et les appeler à la vigilance tout en espérant dissuader le ou les auteurs de ces méfaits de recommencer.

 

EM