C’est  parti sur le parking du centre nautique. la fête commence par le parking fermé  ou sont rangés  les bolides  des concurrents.

 

 

 

Vérifications administratives, vérifications techniques. Le public est présent, labuvette marché a fond, il y a de la joie dans l’air alors que les chevaux  hennissent sous les capots

 

 

Dans les paddocks les équipes d’assistance sont à bloc et attendent avec impatience que les bolides arrivent.

 

 

 

Voilà ça commence, la voiture une, puis la deux. Nous sommes au stand d’Éric Frizot et Rosier Jocelyn. Ça piaffe, ça révise la check list, on recompte les outils, la clé en croix et compagnie. Dire que la tension n’est pas montée serait mentir.

 

 

La 5, ça n’en finit pas,…ah si la 6, tout le monde réagit au quart de tour, la partition est connue par cœur et l’exécution millimétrée. On s’affaire efficacement et le bolide va être près.

 

 

Dans tous les stands ça commence à s’affairer, on boit le dernier café ou le dernier blanc, on aspire le dernier graton plutôt qu’on le mâche, attention ça commence d’arriver !

 

 

Plus loin sur le rond-point du centre nautique les véhicules 1 et deux sont alignés alors que montent du centre nautique les concurrents suivant. Ça vrombit de partout, le public est aux anges avec cette douce musique des pistons qui fouettent les chevaux du plaisir et de l’exploit.

Et en bas ça fait gronder le moteur en attendant que le top soit donné, des jeunes, des gamins, sont là aussi pour en prendre plein les oreilles, pleins les yeux, plein la mémoire.

 

 

Et il fait beau, le soleil est de la partie, bien que le speaker rappelle des rallyes des gueules noires où il aurait plu… médisance sans doute.

 

 

Les concurrents foncent vers les spéciales…

 

 

Gilles Desnoix

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

é à