Nous avons de la chance d’avoir un lectorat qui se sent plus que concerné par les questions de sécurité, de vie en société, de qualité de vie tout- court… et, la preuve en est, avec ce nouveau mail et les photos qui y étaient jointes.

 

 

Ce lecteur vient de nous faire parvenir quelques photos sur son quotidien avec quelques commentaires…

 

 

« Empruntant quotidiennement les berges du Plessis et la rue Maurice Nivon située à l’arrière du lycée Henri Parriat, je tiens à vous signaler quelques problèmes concernant la sécurité des piétons.

 

 

Le long de l’étang du Plessis, le passage protégé (voir photos) est en piteux état. Un coup de peinture serait nécessaire.

 

 

Au prochain accident la solution retenue sera certainement d’installer une zone 30 (avec « ralentisseurs») et tous les automobilistes seront ravis.

 

 

Rue Maurice Nivon le trottoir ne peut plus être emprunté par les piétons. Les arbustes dépassent même sur la rue et les véhicules garés sont de plus en plus loin du trottoir limitant ainsi la largeur dédiée à la circulation.

 

 

Les parties accessibles sont jonchées d’excréments de chiens. La solution choisie par les piétons dont plusieurs centaines de lycéens est donc de marcher sur la rue.

 

 

Mais là attention : passage de nombreuses voitures et également passages de mini-motos non homologuées, obligatoirement non assurées, certainement sans propriétaire, avec un pilote sans casque, le tout dans un bruit infernal.

 

 

Que faire ?

 

 

– Pour la partie arborée, c’est simple.

 

 

– Pour les excréments c’est déjà plus difficile.

 

 

– Pour la circulation des mini-motos, la solution est assez simple à réaliser mais comporte de grands risques de répercussion que la municipalité ne veut certainement pas prendre.

 

 

Dernier point : la vitesse le long de l’étang quand nous descendons de Blanzy est heureusement limitée à 90 km/h, mais seulement à 90. Il serait judicieux de la descendre à 70 au moins dans ce sens.

 

 

Remarque 1 : dernièrement un automobiliste a foncé dans le bois

 

 

Remarque 2 : la descente et la montée du Bois du Verne est à 50.

 

L’auteur de cet article ne désire qu’aider la municipalité dans son action déclarée d’améliorer la sécurité des piétons en lui signalant des points critiques. »

 

Si, vous aussi vous souhaitez « mettre l’accent » sur un « problème » quelconque, une seule adresse :

 

pascalberthier@montceau-news.com