Fête foraine… bon, d’accord… avec un limonaire… ah tiens ? Des clowns ? Ah oui !

 

 

Donc fête foraine. Mais à la fête à neuneu, la foire du trône, la vogue et autres manifestations festives de ce genre on se remplit la panse avec les délicieuses andouillettes, les merguez frites, les hot-dogs, les gaufres… et là ?

 

Patience…

 

 

 

D’après la Police et les services autorisés, en l’occurrence Françoise Lagrue, on estime à 70 les convives avec leurs familles.

 

Il y a aussi Fernand le grand maître de cérémonie, à la fois Roger Lanzac et clown Blanc, il est assisté des 3 augustes au nez rouge comme il sied.

 

 

Mes enfants, la fête c’est la fête, et comme elle est foraine elle nous emmène dans le lointain ouest, le Far West où furent inventées par les colons, les chercheurs d’or, les épopées historiques du genre « la légende de « Buffalo » Bill Cody » qui fit le tour du monde avec son cirque ambulant et qui nourrissait ses spectateurs avec des tranches de viandes grillées entre des tranches de pain.

 

 

Donc au menu  forcément hamburger… mais pas n’importe lequel, d’abord parce que Saveurs restauration ne peut faire quelconque, et parce que c’est la fête. Donc Hamburger à…

 

 

Avant de vous mettre l’eau à la bouche, une brève notation encyclopédique dont l’intérêt ne saurait vous échapper. Le hamburger est un sandwich d’origine allemande, composé de deux pains de forme ronde (bun) garnis de viande hachée agrémentée souvent de crudités, de pickles, de fromage et de sauce.
On peut, sans risque de se tromper, affirmer qu’il s’agit d’un plat emblématique de la restauration rapide, américaine certes, mais bien implantée dans le monde et en France aussi.

 

Pour finir avec cet aparté agaçant de celui qui sait tout sur tout, tout le temps avec tout le monde, rappelons que ce fut le principal plat servi à bord des bateaux de la H.A.P.A.G., la ligne maritime qui reliait Hambourg à New York et donc fournissait le plus grand nombre des migrants teutons à l’Amérique.

 

 

Donc, pour ce qui nous préoccupe un Hamburger, ou burger pour les « djeunes »…« Maison », ça valait le coup d’attendre, non ?

 

 

Avec bien sûr ses frites, ces French fries dont nos amis d’outre atlantique sont si friands. Elles n’étaient pas seules, parce que trônaient fièrement à leurs côtés une tomate provençale. Que voulez-vous à Henri Malot on ne fait pas dans le chiche, dans l’assiette désertique façon nouvelle, nouvelle, cuisine light, avec les frites vous avez droit à une tomate, eh oui en est comme ça chez Domisol.

 

 

On avait commencé avec un kir traditionnel pour ouvrir la voie à une mousse de betteraves. Certains diront pour compenser, d’autres se contenteront de tout manger en silence ou en plaisantant avec les amis et la famille, vous aviez droit au fromage blanc et à la pomme en 3 façons. Les pommes sont toujours en représentation, donc elles s’expriment en 3 façons. La poire est plus humble, on ne parle même pas du coing, mais là c’est la pomme.

 

 

La dernière bouchée de pomme avalée, c’est une folle nuit qui s’ouvre et le limonaire de tourner les pages de ses partitions.

 

 

Une belle soirée festive qui laissera forcément des souvenirs, hippy kye cow boy !

 

 

 

Gilles Desnoix