La maitresse n’est pas au milieu des cahiers en feu comme voulait autrefois la comptine de fin d’année scolaire *. La Directrice est sur l’estrade où se produiront les élèves.

Elle remercie tous les présents et en particuliers les parents élus qui œuvrent aussi à la fusion des écoles. Elle remercie les Amis des festivités qui chaque année par leurs activités et animations permettre de financer les voyages et la coopé.

 

 

Elle n’oublie pas non plus les animatrices et les agents de la cantine scolaire pour le « super boulot accompli »

 

 

Elle signale les départs de Mme Chognon la professeure du CM2 et de Mme Ledey la professeure du CP « on vous regretta beaucoup » Un groupe d’élèves entonne un implorant « Ne partez pas, ne partez pas »

 

 

Et puis elle fait monter le Président du RCMB sur scène pour remercier les élèves ayant participé au Challenge Vernusse et au Beach Rugby (et en sont revenus avec des coupes) qui lui ont offert un beau cadre. Le Président François n’est pas venu les mains vides il a amené des cadeaux en lien avec le RCMB et le Beach Rugby et leur a donné rendez-vous dans deux ans pour la seconde édition.

 

 

 

Ensuite les élèves jouent différentes saynètes très drôles et fort bien interprétées, ou se présentent en chorales pour chanter en autre « le loup, le renard et la belette » de Tri Yann.

 

 

 

Et le groupe qui chantait aux professeures de ne pas partir exécutent un Haka plus vrai que nature. Il s’agit du Ka mate, le plus poétique et le plus doux des Haka All Blacks. Rien à voir avec le Kapa o Pango dont le dernier geste simule un égorgement. Rappelons que c’est Tana Umaga qui a conduit pour la première fois, en compétition internationale, le Kapa o Pango, lors du match Nouvelle-Zélande – Afrique du Sud le samedi 27 août 2005 à Dunedin (Nouvelle-Zélande).

 

 

 

Mais l’après-midi se poursuit avec de nombreux numéros d’élèves devant un public de parents conquis et aux anges.

 

 

On se rend compte tout de suite de l’énorme travail fournit pour en arriver là, de la patience qu’il a fallu.

 

 

Gilles Desnoix

 

 

 

* »vive les vacances, 
plus de pénitences, 
les cahiers au feu, 
la maîtresse au milieu »