4 commentaires sur “Insolite”

1. la saule71 dit :

   6 janvier 2018 à 9 h 17 min

   Bonjour,
   C’est un petit rat barda, ou rat fruitier. J’en ai dans mon jardin également

2. Glutz dit :

   6 janvier 2018 à 12 h 47 min

   Je pense plutôt qu’il s’agit bien d’un mulot…

3. MicMont dit :

   6 janvier 2018 à 15 h 51 min

   Bonjour,

   La photo étanb plutôt sombre, il est difficile de déterminer avec précision s’il s’agit d’un Apodemus flavicollis (plutôt roux avec le ventre blanc) ou d’un Apodemus sylvaticus (plutôt gris) mais vu la coloration claire de la partie ventrale, je pencherais pour Apodemus flavicollis (mulot à collier).
   Ce n’est pas un « rat barda » (Eliomys quercinus ou lérot, ou rat fruitier) dont le pelage est beaucoup plus clair et dont les yeux sont cerclés de noir jusque sous les oreilles, évoquant des lunettes. Cet animal hibernant, il n’est actif l’hiver que dans les greniers ou les lieux chauffés mais jamais à l’extérieur. Son régime étant principalement frugivore, il s’intéresse quelquefois aux invertébrés, mais très rarement aux graines.

   En conclusion, nous sommes très vraisemblablement en présence d’un mulot à collier dont le régime est volontiers granivore et dont les mœurs sont arboricoles.
   Attention : notre petit ami, comme les souris, adore grignoter les câbles électriques !

   Je profite de ce commentaire pour souhaiter une belle année à l’équipe et à tous les lecteurs de Montceau-News.

   Bien cordialement,
   MicMont

4. loiseau dit :

   6 janvier 2018 à 16 h 54 min

   La saule 71 j’ai le regret de vous informer que vous faites erreur sur la bestiole ce n’est qu’une vulgaire sourie heureuse de trouver une pitance en cette saison.
   Le client que vous appelez rat barda, dans certaine région rat pompon n’est autre que le lérot de la famille des loirs. Il est invisible à cette saison il hiberne. Il est beaucoup plus gros avec une queue qui se termine par un panache comme la queue de l’écureuil. Il a des taches noires autour de ses yeux de véritables petites perles noires
   On peut le rencontrer également dans les parcs, bocages, vergers et jardins jusqu’à 2 000 m d’altitude et il est fréquent qu’il élise domicile dans les habitations humaines. Il choisit également les biotopes rocheux. En été, il construit un nid de mousses et de fibres situé à grande hauteur dans un trou d’arbre, un trou de muraille ou sous les toitures. On trouve jusqu’à 5 individus dans un même nid.
   Le lérot occupe un domaine vital de 100 à 200 m de diamètre. Sa densité est variable en fonction du biotope occupé mais s’établit en moyenne autour de 0,2 à 0,4 individu/ha. Le Loir se disperse jusqu’à 1 km du lieu d’origine.
   Le régime alimentaire du lérot varie avec les saisons, aussi bien en quantité qu’en qualité, cet animal ne se nourrissant pas pendant toute la durée de l’hibernation, son alimentation se compose de fruits, d’écorces, de bourgeons, de noisettes, de châtaignes, de glands, de faines, de champignons, d’écorces, etc.
   Le lérot émet des cris et des sifflements, ainsi que des grognements bruyants. Crépusculaire et nocturne le lérot hiberne d’octobre à avril.
   Les chats ne peuvent pas le capturer tellement il est agile et monter sur la façade à la verticale
   Un conseil si pendant la période des cerises et que la nuit vous entendez siffler allez regarder dans votre cerisier avec une lampe de poche vous le surprendre avec ces 2 petits yeux brillants, si vous en avez sous votre toit en automne et au printemps ils font un raffut incroyable à croire qu’il déménage la toiture

   amitié Bernard l’Oiseau