Dépôt-vente, antiquité, brocante, exposition, foire… Toutes les occasions sont bonnes pour le brocanteur de dénicher l’objet rare et de le revendre.

 

 

Passionné par l’art, le beau et… l’utile, il cherche aussi LA bonne affaire, car, ne l’oublions pas, il est aussi commerçant dans l’âme. Attention, le métier est de plus en plus rare…

 

De nos jours, plus guère de jeunes embrassent la profession. Et à part les chineurs, collectionneurs et autres amateurs de perles rares, le citoyen lambda ne passe pas spécialement son temps chez ces professionnels.

 

 

Mais quand on a 5 minutes à tuer, que l’on se trouve proche d’une caverne d’Ali Baba, la tentation est forte d’aller jeter un œil…

 

Petite balade parmi les services à poissons, un renard en faïence de Saint-Clément, des têtes de chevaux en laiton, un seau à champagne Picon, des grilles de défense, des vases japonais de 1950, un bar mappemonde à roulettes, des cadres « Les glaneuses », des cadres sur l’aviation et un mannequin enfant.

 

Le tout à des prix défiant toute concurrence…Et vous lecteurs, parmi ces prix affichés, saurez-vous reconnaitre les objets correspondants ?

 

Les prix : 40 euros, 50 euros les deux, 70 euros les deux, 100 euros les quatre, 30 euros, 35 euros, 30 euros, 70 euros et 25 euros