C’est une sympathique réception qui s’est déroulée ce vendredi, dans les locaux de l’Opac du Bois du Verne, en présence de Jean Magaud, directeur général-adjoint de l’OPAC, Frédérique Granget, responsable du service développement social et insertion Opac, qui a piloté le projet, Aurélie Richard, du service habitat CUCM et Jean-Yves Teani, responsable de service.

 

 

Présents également des représentants de Pôle Emploi, de la Mission locale, de la Sauvegarde 71 etc. Mais aussi Christiane Mathos et Martine Kahouadji, représentant la mairie et Mme Jarrot excusée. Tout comme M. le sous-préfet d’Autun, retenu par d’autres obligations.

 

 

Frédérique Granget a expliqué que le chantier en question s’est déroulé pendant environ 9 jours, avec 3 filles et cinq garçons, issus principalement de la Mission locale et de la Sauvegarde 71. Et habitant le quartier du Plessis et du Bois du Verne.

 

 

Ces huit jeunes, durant ce chantier (peinture de 8 entrées et 14 portes) ont été encadrés par deux éducatrices, en partenariat avec des personnels de l’Opac, Solidarité Services et la Sauvegarde 71. Au final, un travail parfait, qui leur a valu moult compliments des différents intervenants.

 

 

Et du point de vue comportemental, aucune remarque n’a été faite : tous sont arrivés à l’heure au travail et se sont comportés avec courtoisie les uns par rapport aux autres.

 

 

Et c’est dans le cadre de ce contrat de ville que l’Etat a débloqué 4 000 euros de subvention.

 

 

Pour sa part, Fabien Monot, délégué du préfet a précisé que ce chantier avait été financé par la politique de la ville et la Région. Et il a félicité les jeunes pour leur travail et leur implication.

 

 

 En terme de coût, un chantier, avec les salaires, revient à environ 12 000 euros.

 

 

Et comme le dit Mme Granget, nous voudrions, tout comme Mme Jarrot en mettre plus sur poied, mais cela a un coût non négligeable.

 

 

Chaque partenaire a ensuite adressé ses félicitations aux huit jeunes pour la réussite de ce chantier d’insertion.

 

 

Un tremplin pour l’avenir et l’insertion dans le monde du travail ? C’est tout ce que nous pouvons souhaiter à ces jeunes.