Vous avez dit pas de retraites par points….!
Le conseil d’administration des caisses complémentaires de la Fédération Agirc-Arrco
est géré paritairement par les représentants des salariés et patronaux.
Le président est un REPRÉSENTANT SYNDICAL des salariés et le DIRECTEUR GÉNÉRAL est du collège PATRONAL.
Le régime est par répartition : les cotisations versées par les salariés et leurs employeurs permettent de verser immédiatement les retraites aux retraités actuels.
Un système par POINTS : chaque année, les cotisations sont transformées en POINTS de RETRAITE qui alimentent un compte ouvert au nom de chaque salarié. Les salariés se constituent ainsi des droits futurs.
Depuis 2018 pour équilibrer les comptes ce conseil a décidé un malus de 10% en partant à 62 ans. Il faut aller à 63 ans pour ne pas avoir ce malus.
Ce n’est pas le gouvernement qui a agit mais les syndicats de salariés et employeurs dans ce système des caisses complémentaires.
Le système de l’état actuel est dans le même cas. Si comme le demandent les syndicats voulant annuler la réforme et s’ils obtiennent gain de cause et bien le trou de déficit se creusera et les pensions actuelles baisseront , et quant aux futurs générations il n’y aura plus d’argent , d’où la réforme du gouvernement pour sauver le système actuel par répartition. Les syndicats le savent très bien. Et les grèves sont avant tout » anti Président de la République » et servent la FI, le PCF, une partie du PS et le RN . Quand il faudra se mettre autour de la table compte du déficit qui sera devenu catastrophique et bien, comme à l’Agirc-Arcco, les syndicats auteurs de grève et blocages divers, seront bien obligés d’assumer.
Un commentaire sur “Intersyndical éducation de Saône et Loire”
Vous avez dit pas de retraites par points….!
Le conseil d’administration des caisses complémentaires de la Fédération Agirc-Arrco
est géré paritairement par les représentants des salariés et patronaux.
Le président est un REPRÉSENTANT SYNDICAL des salariés et le DIRECTEUR GÉNÉRAL est du collège PATRONAL.
Le régime est par répartition : les cotisations versées par les salariés et leurs employeurs permettent de verser immédiatement les retraites aux retraités actuels.
Un système par POINTS : chaque année, les cotisations sont transformées en POINTS de RETRAITE qui alimentent un compte ouvert au nom de chaque salarié. Les salariés se constituent ainsi des droits futurs.
Depuis 2018 pour équilibrer les comptes ce conseil a décidé un malus de 10% en partant à 62 ans. Il faut aller à 63 ans pour ne pas avoir ce malus.
Ce n’est pas le gouvernement qui a agit mais les syndicats de salariés et employeurs dans ce système des caisses complémentaires.
Le système de l’état actuel est dans le même cas. Si comme le demandent les syndicats voulant annuler la réforme et s’ils obtiennent gain de cause et bien le trou de déficit se creusera et les pensions actuelles baisseront , et quant aux futurs générations il n’y aura plus d’argent , d’où la réforme du gouvernement pour sauver le système actuel par répartition. Les syndicats le savent très bien. Et les grèves sont avant tout » anti Président de la République » et servent la FI, le PCF, une partie du PS et le RN . Quand il faudra se mettre autour de la table compte du déficit qui sera devenu catastrophique et bien, comme à l’Agirc-Arcco, les syndicats auteurs de grève et blocages divers, seront bien obligés d’assumer.