Montceau-les-Mines: une balayeuse pour la ville.
Une ville propre pour rassurer
Ce vendredi, en début d’après-midi était organisé un point presse afin de présenter une balayeuse, engin de nettoyage loué par la municipalité et mis à disposition des agents de la ville.
Pour Marie-Claude Jarrot, pendant cette crise sanitaire, il était important que les habitants puissent se sentir en sécurité dans une ville propre et nettoyée. D’ordinaire c’est la communauté qui prête des balayeuses. Or cette crise a demandé une plus grande disponibilité des engins. C’est pour répondre à cette demande que la municipalité a décidé de louer cette balayeuse pour un coût de 5000 euros par moi.
Pour Marie-Claude Jarrot, cette période a demandé un « travail important pour les agents de la ville que je tiens encore à remercier (…) il fallait donc penser à améliorer leurs conditions de travail ». Pour la Maire de Montceau, certains lieux étaient particulièrement prioritaire dans l’attention portée par les agents. « Lorsque l’on est confiné, dans une habitation verticale par exemple, et que l’on voit des poubelles qui débordent ou des détritus, ce n’est pas facile à vivre ».
Mme Jarrot assure ainsi que les « premiers de corvées », ceux qui ont dû assurer la continuité du service public sauront être remercié ( par exemple une prime pour certains agents). Elle a donc tenu à leur rendre hommage.
6 commentaires sur “Montceau-les-Mines: une balayeuse pour la ville.”
Très bon investissement. vite amorti avec l’argent récolté des incivilités : mégots ,de crottes de chien, et autres déchets ……et incivilités ….dépôt de gravats près des containers mais il faut avoir le COURAGE de faire respecter la loi et là ce n’est pas gagné !!!!
et les vêtements à coté des bennes Relais qu’en faites vous ? pas besoin de machine spéciale pour mettre ça dans un camion, mais vous préférez ne pas voir…
Comme on dit : balayer devant sa porte ! Avec en bonus un petit moi sans s… Si cela n’est pas un argument électoral sans déchet !
Tout cela dans les zones prioritaires afin de ne pas glisser (sur) le mauvais bulletin sans doute.
Mais que faire contre la génération spontanée d’ordures qui s’entassent sans que personne n’y contribue ?
Le travail était fait…mais il fallait repasser derrière ? Etranges rues que celles qui deviennent accueillantes quelques semaines tous les 6 ans !
Aller pour ce prix-là et dans la mesure où la campagne est écourtée les frais de campagne peuvent supporter la dépense.
Halte là, il ne faudrait pas taxer le futur électeur si on veut conserver son siège au chaud !
Les photos sur la mairie ç’est pas bien , la balayeuse c’est pas bien , petit à petit notre vie de raleurs perpétuels d’avant reprend….de quoi retrouver le moral .
Améliorer les conditions de travail ! Mieux vaut tard que jamais !
Mais d’où sortiront les sommes engagées pour de tels investissements ? Etait-ce réellement le moment ?
Solution de facilité pour ne pas punir ; sévir ; mais bon il faut de grands moyens humains et financiers pour faire respecter les règles, les lois pour que cessent les incivilités, pour éduquer des adultes incapables de respecter autrui, la nature, mobilier urbain, etc….
Pendant cette crise sanitaire ; bof ! Se sentir mieux dans une ville propre et nettoyée. Ca veut dire quoi au juste ? Sans cette crise ? Pas de ville propre ….. Pas de nettoyage….. Et pourtant combien de manches pourraient être retroussées en toute période, pour ramassage entre autres de vêtements qui jonchent le sol près des bennes, ce serait facile !
L’insupportable, c’est être (avoir été dans le respect le plus total) confiné(s) et étouffé(s) par port de masque.