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jeudi 26 août 2021 à 06:12

Montceau-les-Mines : les Doigts de Fées

Assemblée générale





 

L’assemblée générale de l’association Les Doigts de Fées s’est tenue à la salle des fêtes du Magny, ce mardi après-midi en présence de Michel Tramoy, adjoint aux sports et à la vie associative.

Une assemblée particulière, menée par la trésorière Michelle Charrier, accompagnée de Huguette Maertens, en raison de l’absence de la présidente, Danielle Drin, pour raison de santé. Toutes les pensées des adhérentes vont vers la présidente en espérant des jours meilleurs.

 

La trésorière ouvre l’assemblée générale et présente les différents rapports qui sont adoptés à l’unanimité par l’assemblée.

 

L’année 2020 a été une année difficile qui n’a pas permis de mener à terme les différents projets.

Le rapport financier montre une gestion claire et un solde positif.

Puis, l’assemblée désigne par le vote, une vice-présidente, en la personne de Ghislaine Cognard, qui assurera l’intérim.

 

Le bureau se compose ainsi :
-Danielle Drin (présidente)
-Ghislaine Cognard (Vice-présidente)
-Suzanne Cortot (présidente d’honneur)
-Michelle Charrier (trésorière)
-Huguette Maertens (secrétaire)

 

Les adhérentes remercient les membres du bureau de conduire la barque de l’association.

 

L’association participera au forum des associations le samedi 4 septembre aux Ateliers du Jour.

L’exposition de novembre au syndicat sera annulée et remplacée par une journée porte ouverte à la salle du Magny.

D’autre part, le stage avec Pascal Jaouen, artiste brodeur, un moment fort et attendu, est programmé les 26 et 27 février 2022.

 

Michel Tramoy indique qu’il est content de pouvoir retrouver tout le monde après cette année SANS…

On commence à se revoir, à refaire du lien social. La vie reprend avec toutes les précautions nécessaires.
Il précise que le forum, cet événement qui marque la rentrée, se fera avec passe-sanitaire et comptera une soixantaine d’associations cette année
Pour conclure, il exprime le souhait d’une reprise dans les meilleures conditions, que l’on puisse revivre normalement.

 

J.L Pradines

 

 

 

 

 

 

 

 

 






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