Ce mardi soir, au monument des Fusillés à Bel Air, a eu lieu la commémoration du 51ème anniversaire de la mort du Général de Gaulle, figure emblématique de la Résistance pendant la 2ème guerre mondiale, fondateur de la 5ème République et 1er Président de la République Française élu au suffrage universel.

En présence de la Maire Marie-Claude Jarrot, accompagnée de nombreux élus, de la députée-suppléante Caroline Ghulam-Nabi, des représentants des autorités civiles et militaires, des représentants des associations mémorielles et d’anciens combattants.

Gérard Gronfier, adjoint chargé de la Tranquillité publique, de la Sécurité et des Anciens combattants a conduit et orchestrée cette cérémonie.

Après les dépôts de gerbe, la Maire a prononcé un discours dans lequel elle a mis en avant les valeurs portées par cet homme, les principes défendus par « ce héros national ».

M.C Jarrot cite André Malraux : « Il ne peut pas y avoir de Gaullisme sans De Gaulle ». (Serait-ce une interpellation pour tous ceux qui se réclament du Gaullisme, à toutes les personnalités de tous bords qui ont fait le déplacement en ce jour anniversaire sur la tombe du Général à Colombey?)

« Nous faire sentir ce que nous voulons, la vérité ; la véritable portée de l’événement,
de ses réussites, le récit et l’analyse, un témoignage pour comprendre De Gaulle.
De Gaulle, un Homme de l’Armée, de l’État et des Lettres ».
M. C Jarrot brosse le portrait d’un De Gaulle idéaliste, voulant faire de l’idéal républicain Liberté, Egalité Fraternité, le triptyque mis en valeur chez nous pour tous.

« De Gaulle, ce sont des pages si fortes du roman français. Il avait un destin le poussant à écrire l’histoire de son pays, de la France, d’une certaine idée de la France. Désormais, conservez la mémoire, feuilletez les pages du présent avec le Gaullisme ».

 

J.L Pradines